La Clandestine : Les sorcièr·e·s de Salem

La Clandestine : Les sorcièr·e·s de Salem

Cette fois, ce ne sont plus des murmures… ce sont des incantations.
On raconte qu'un cercle de sorcier·e·s s'apprête à rouvrir les plaies de Salem le temps d'une soirée. Les braises rougeoient à nouveau, et la nuit promet d'être coupable. Mais promis, ici, personne ne sera brûlé·e sauf peut-être les égos mal placés.

La Clandestine revient, plus irrévérencieuse que jamais.

Au programme de ce sabbat charnel et indocile :

• Une maîtresse de cérémonie sexy comme un péché, piquante comme un expresso serré, elle susurrera, provoquera, et lacèrera On la craint, on la veut, on s'y soumet surtout quand on est un homme cis hétéro pas très déconstruit.

• Une créature de grâce et de douleur, entre danse et fakirisme, capable d'hypnotiser ou de faire détourner les yeux… selon ce que le destin décidera.

• Un·e pole danseur·euse punk, mélange de douceur et de brutalité, prêt·e à faire vriller les corps et les certitudes.

• Un être gluant, hilarant et vénère, prêt à baver sur tout ce que le public déteste avant de danser sur les restes avec un sourire carnassier.

• Un·e métamorphe prêt·e à incarner le pire pour mieux le ridiculiser, jusqu'à faire trembler vos souvenirs d'enfance.

Et pour nourrir les sortilèges :
Potions alcoolisées, limoncello sacré, bières Peak en offrande, élixirs secrets servis comme des serments brisés.

Le lieu . Vous le connaissez déjà. Mais comme toute secte bien élevée, on ne révèle rien… sauf à celleux qui méritent la fièvre.

Ici, la sororité consume les bûchers, l'art se venge en talons ou en crocs, et chaque spectateur·rice devient témoin… ou complice.

Chez la Clandestine, on ne plaide plus l'innocence. On rallume la flamme.

L'interdit ne se raconte pas.
Il s'invoque.

La Clandestine