Dans une musique indescriptible, il réimagine le futur de la soul

Boucle de guitare électrique, voix et piano flottant dans l’écho, percussions mélangeant Ukg, p, et neo-soul : c’est via cet assemblage de genres que YellowStraps nous propose son art.

Récemment propulsé pour son titre « Slowdown (girl what’s up) » sorti en novembre , qui cumule +1ur Spotify et +16M views sur Instagram, Yvan se saisit de l’atmosphère garage qu’il aime tant et décide de la reformuler avec ses codes, son ukulélé électrique et son clone qu’il matérialise dans ses vidéos faites main.

Il réitère en remixant son propre titre « blue » avec Sofiane Pamart, début , venant confirmer sa maîtrise de cette formule hybride, entre sonorités planantes et drums secs façon Uk.yellowstraps ne se résume évidemment pas à ces hits qui l’ont fait connaître au grand public. Large d’une discographie abondante et variée, sa proposition sort des structures académiques et vient croiser les sonorités qui l’inspirent. « Le meilleur compliment qu’on puisse me faire, c’est que ma musique est impossible à décrire. »

Le YellowStraps nouveau est arrivé: fruit mûr et confiant d’un parcours déjà dense, mais également bourgeon éclatant de fougue et d’invention. La reconnaissance dont il fait part via ses récents hits l’ont hissé à une position décisive dans laquelle il est désormais capable de diffuser son art unique à un grand nombre.