The intimate consciousness of time
Stijn Cole
gauthier Hubert
gudny Rosa Ingimarsdottir
athina Ioannou
guillermo Mora
bernard Villers
vernissage jeudi 7.01.e 14h à br /> Exposition à découvrir du 8.01 au 13.0 />
La galerie Irène Laub est ravie de débuter l’année avec une exposition collective intitulée "The intimate consciousness of time". Chacun à leur manière, les artistes présentés utilisent les notions de temporalité et de durée, soit comme part intégrante de leur processus de création, soit en tant que dispositif de perception des œuvres.
Stijn Cole capture les variations de couleur et d’intensité lumineuse d’un même paysage à travers ses « timescapes », alors que le temps devient un mécanisme performatif chez Gauthier Hubert. Athina Ioannou amorce une transfiguration progressive des matériaux qu’elle emploie, Gudny Rosa Ingimarsdottir recycle des fragments de son propre travail et emploie des motifs récurrents à travers les années. Guillermo Mora dissimule des capsules temporelles dans ses compositions et, enfin, Bernard Villers exploite le mouvement de la lumière pour affecter la perception des œuvres dans sa série « Iris descend ».
Plus d'information :
Image: Stijn Cole, 60 journées d’été - 10/7/ - 19:00 > 0 Seloignes, , Inkjetprint on Baryta paper, 50 x 150 cm
gauthier Hubert
gudny Rosa Ingimarsdottir
athina Ioannou
guillermo Mora
bernard Villers
vernissage jeudi 7.01.e 14h à br /> Exposition à découvrir du 8.01 au 13.0 />
La galerie Irène Laub est ravie de débuter l’année avec une exposition collective intitulée "The intimate consciousness of time". Chacun à leur manière, les artistes présentés utilisent les notions de temporalité et de durée, soit comme part intégrante de leur processus de création, soit en tant que dispositif de perception des œuvres.
Stijn Cole capture les variations de couleur et d’intensité lumineuse d’un même paysage à travers ses « timescapes », alors que le temps devient un mécanisme performatif chez Gauthier Hubert. Athina Ioannou amorce une transfiguration progressive des matériaux qu’elle emploie, Gudny Rosa Ingimarsdottir recycle des fragments de son propre travail et emploie des motifs récurrents à travers les années. Guillermo Mora dissimule des capsules temporelles dans ses compositions et, enfin, Bernard Villers exploite le mouvement de la lumière pour affecter la perception des œuvres dans sa série « Iris descend ».
Plus d'information :
Image: Stijn Cole, 60 journées d’été - 10/7/ - 19:00 > 0 Seloignes, , Inkjetprint on Baryta paper, 50 x 150 cm
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