Qui a tué mon père
D’après le roman autobiographique de Edouard Louis.
L’hommage d’un fils à un père imparfait. Et un brûlot sur la violence sociale faite aux classes populaires. Deux comédiens idéaux et un musicien en live pour un moment beau à pleurer des larmes de fureur.
Après des années d'absence, un jeune homme rend visite à son père mourant.
Il se souvient, réfléchit à leur relation.
Qu’est-ce qui a fait de son enfance une blessure ?
Qui est responsable de la déchéance de son père ?
Le roman d’Edouard Louis, ayant pour toile le Nord de la France, met des mots sur la violence politique qui brise les corps d'ouvriers et sur la honte sociale qui étouffe les gens ordinaires. Il dénonce la domination, les dirigeants français et belges de droite comme de gauche.
Une mise en scène de Julien Rombeaux à voir absolument quand on sait à quel point la politique méprise les classes populaires, culpabilisant les “fainéants” et les marginaux, rendant les pauvres toujours plus pauvres et les riches toujours plus riches.
Adrien Drumel (Prix Maeterlinck du Meilleur comédien, ) incarne ce monologue viscéral du fils à son père. Planté entre ses garages, des meubles de jardin et de la pop des années 90, Philippe Grand’Henry (“Bullhead”…) hante le plateau de son silence. Un père bourru, détruit... mais pas éteint !
_______
D’après Édouard Louis
Metteur en scène : Julien Rombaux
Collaboratrice artistique : Gwendoline Gauthier
Jeu : Philippe Grand’Henry, Adrien Drumel
Compositeur et musicien Camille-Alban Spreng Scénographe Boris Dambly
Peintre Eugénie Obolensky
Costumière Britt Angé
Créatrice lumière Émily Brassier
Régisseur plateau Peter Flodrops
Régisseuse lumière, vidéo, son Candice Hansel
Diffusion La Charge du Rhinocéros
_______
Production : Maison de la culture de Tournai - Coproduction Mars – Mons arts de la scène, L’ANCRE – Théâtre Royal, Théâtre de la Vie – Soutiens Fédération Wallonie-Bruxelles – Service du Théâtre (CAPT), Centre Culturel Jacques Franck, Studio Quai 41 – Centre Rosocha à Bruxelles, Centre Culturel de Nivelles – Accueil en création scénographie Le Vaisseau
L’hommage d’un fils à un père imparfait. Et un brûlot sur la violence sociale faite aux classes populaires. Deux comédiens idéaux et un musicien en live pour un moment beau à pleurer des larmes de fureur.
Après des années d'absence, un jeune homme rend visite à son père mourant.
Il se souvient, réfléchit à leur relation.
Qu’est-ce qui a fait de son enfance une blessure ?
Qui est responsable de la déchéance de son père ?
Le roman d’Edouard Louis, ayant pour toile le Nord de la France, met des mots sur la violence politique qui brise les corps d'ouvriers et sur la honte sociale qui étouffe les gens ordinaires. Il dénonce la domination, les dirigeants français et belges de droite comme de gauche.
Une mise en scène de Julien Rombeaux à voir absolument quand on sait à quel point la politique méprise les classes populaires, culpabilisant les “fainéants” et les marginaux, rendant les pauvres toujours plus pauvres et les riches toujours plus riches.
Adrien Drumel (Prix Maeterlinck du Meilleur comédien, ) incarne ce monologue viscéral du fils à son père. Planté entre ses garages, des meubles de jardin et de la pop des années 90, Philippe Grand’Henry (“Bullhead”…) hante le plateau de son silence. Un père bourru, détruit... mais pas éteint !
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D’après Édouard Louis
Metteur en scène : Julien Rombaux
Collaboratrice artistique : Gwendoline Gauthier
Jeu : Philippe Grand’Henry, Adrien Drumel
Compositeur et musicien Camille-Alban Spreng Scénographe Boris Dambly
Peintre Eugénie Obolensky
Costumière Britt Angé
Créatrice lumière Émily Brassier
Régisseur plateau Peter Flodrops
Régisseuse lumière, vidéo, son Candice Hansel
Diffusion La Charge du Rhinocéros
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Production : Maison de la culture de Tournai - Coproduction Mars – Mons arts de la scène, L’ANCRE – Théâtre Royal, Théâtre de la Vie – Soutiens Fédération Wallonie-Bruxelles – Service du Théâtre (CAPT), Centre Culturel Jacques Franck, Studio Quai 41 – Centre Rosocha à Bruxelles, Centre Culturel de Nivelles – Accueil en création scénographie Le Vaisseau
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