«Parasite, avec son ironie grinçante et ses plans diaboliques, construit une lutte des classes aussi délirante que réjouissante, avec un final en apothéose que nous ne sommes pas près d’oublier !.» Catherine Lemaire, Les Grignoux.
Ki-Taek et ses enfants sont tous au chômage et s’intéressent fortement au train de vie de la richissime famille Park. Un jour, le fils de Ki-Taek réussit a ? se faire recommander pour donner des cours particuliers d’anglais chez les Park. C’est le début d’un engrenage incontrôlable, dont personne ne sortira véritablement indemne...

«L’intrigue [du] film réserve d’innombrables et de délicieuses surprises. Le scénario alterne suspense et humour, terreur et émotion avec un brio incontestable. Mais encore fallait-il être capable de porter à l’écran tout le potentiel de ce scénario. Et Bong Joon-Ho fait preuve d’une maestria impressionnante. Le décor devient plus qu’un décor: la maison des Park, théâtre d’un huis-clos cruel, permet au cinéaste une mise en scène à la fois fluide et intrigante, qui fait preuve d’un sens parfait de l’espace et du rythme. En toile de fond, il réussit aussi une réflexion politique sur le fossé indécent qui se creuse entre les riches et les pauvres. Bref, voilà un grand film, un très grand film.» Hugues Dayez, rtbf.be.

Palme d’or et Prix de l’Association Française des Cinémas d'Art et d'Essai, Festival de Cannes – Gagnant du Festival du Film de Sidney .

Coup de coeur de la Commission Cinéma du Ccd.

de Bong Joon-Ho
Corée du Sud – – 131’ – E.A. – V.O. St. Fr.
Avec Cho Yeo-Jeong, Choi Woo-Sik, Lee Sun-Kyun, Song Kang-Ho,…