Une musique joyeuse et métissée avec beaucoup de panache

Fort du succès de leur premier album et de la tournée fleuve qui l’a suivi, Ava Carrère et Ismaël Colombani ont sillonné tous les recoins de la francophonie pour aller cueillir par brassées les membres de leur public. De l’île de la Réunion au Québec, le duo devenu quatuor a tatoué le territoire de ses ritournelles, de ses plaisanteries fines et de son panache... Car le groupe est sur scène comme dans son salon et c’est pour ça que le public en redemande. Après l'aventureux et rêveur « Largue la Peau », le poumon sage et sauvage s’apprête à souffler aux oreilles attentives de nouveaux refrains qui sauront se rendre indispensables.
C'est sur notre scène extérieure que nous aurons le plaisir d'entendre pour la première fois les chansons de leur deuxième album « Luxe Misère », enregistré en partie à l’île de la Réunion avec la section rythmique de Danyèl Waro.

En collaboration avec FrancoFaune et Ubu.

Kùzylarsen
Ce qui intrigue en premier chez Mathieu Kùzylarsen c’est qu’il accompagne ses textes d’un oud électrique. De ses voyages il a ramené aussi des rythmes d’obédience méditerranéenne et moyen-orientale qu’il revisite audacieusement avec la beatboxeuse Julieta (championne de France , vice-championne en ) et la bassiste / choriste Alice Vande Voorde.
La chanson française « à la Kùzylarsen » serait comme une tangeante glissant sans cesse sur des courbes de mélodies safranées, de groove à la popularité extra-européenne et de riffs rocks. Surprenante, insaisissable et pourtant profondément enracinée dans un monde imaginaire puisant son eau dans la perception qu’il a des réalités de ce monde.