Ikob – Prix de l'Art Féministe
L'IKOB a ouvert ses portes pour l'exposition du Prix de l'Art féministe Ikob , avec les œuvres des six finalistes Daniela Bershan, Jieun Lim, Sandrine Morgante, Marnie Slater, Céline Vahsen et Puck Verkade.
Marnie Slater a remporté la première place. Une artiste néo-zélandaise qui s'intéresse à l'histoire féministe et queer. La série de peintures Le Madame (Brussels 1981-1983) exposée à l'IKOB s'inspire d'un bar lesbien du même nom actif à Bruxelles entre 1981 et 1983. Slater vit et travaille à Bruxelles où elle est cofondatrice de Mothers & Daughters, un bar lesbien et trans dont les locaux sont recréés par des peintures murales dans l'exposition de l'IKOB.
La deuxième place a été attribuée à Jieun Lim. L'installation multimédia de l'artiste coréenne, intitulée Hunter's Room, aborde les thèmes de la procréation, de la maternité, de la conservation et de la tradition. L'artiste vit et travaille à Düsseldorf.
Le troisième prix, qui est un prix d'encouragement régional, a été décerné à Céline Vahsen, née à Malmedy. Le point de départ de son œuvre est l'héritage culturel des tissus en tant que média. Avec une approche contemporaine, elle explore des techniques ancrées dans la production textile traditionnelle.
L'exposition présente également les travaux des autres finalistes, Daniela Bershan, Sandrine Morgante et Puck Verkade. Dans son installation Ocean, Bershan interprète des actions quotidiennes comme sensuelles et significatives et conçoit ainsi ce travail comme un moment collectif, expérimental et spirituel. La performance correspondante sera présentée lors du finissage de l'exposition le 9.. Dans le film Unborn de Puck Verkade, le spectateur suit une colombe désorientée qui construit son nid et réfléchit à son rôle potentiel de mère, abordant ainsi le thème sensible des droits reproductifs. Le travail de Sandrine Morgante, Taalbarrière, fait apparaître, à travers des dessins ludiques, les déterminations culturelles, psychologiques, socio-économiques et géographiques des communautés linguistiques belges.
L'IKOB – Musée d'Art Contemporain décerne, depuis sa création, un prix d'art tous les trois ans. En , ce prix prend pour la première fois une position explicitement féministe. Étant donné qu’il s’agit du premier prix contemporain de ce type, l'IKOB est particulièrement conscient de l’importance de recentrer ce positionnement à nouveau en .
Marnie Slater a remporté la première place. Une artiste néo-zélandaise qui s'intéresse à l'histoire féministe et queer. La série de peintures Le Madame (Brussels 1981-1983) exposée à l'IKOB s'inspire d'un bar lesbien du même nom actif à Bruxelles entre 1981 et 1983. Slater vit et travaille à Bruxelles où elle est cofondatrice de Mothers & Daughters, un bar lesbien et trans dont les locaux sont recréés par des peintures murales dans l'exposition de l'IKOB.
La deuxième place a été attribuée à Jieun Lim. L'installation multimédia de l'artiste coréenne, intitulée Hunter's Room, aborde les thèmes de la procréation, de la maternité, de la conservation et de la tradition. L'artiste vit et travaille à Düsseldorf.
Le troisième prix, qui est un prix d'encouragement régional, a été décerné à Céline Vahsen, née à Malmedy. Le point de départ de son œuvre est l'héritage culturel des tissus en tant que média. Avec une approche contemporaine, elle explore des techniques ancrées dans la production textile traditionnelle.
L'exposition présente également les travaux des autres finalistes, Daniela Bershan, Sandrine Morgante et Puck Verkade. Dans son installation Ocean, Bershan interprète des actions quotidiennes comme sensuelles et significatives et conçoit ainsi ce travail comme un moment collectif, expérimental et spirituel. La performance correspondante sera présentée lors du finissage de l'exposition le 9.. Dans le film Unborn de Puck Verkade, le spectateur suit une colombe désorientée qui construit son nid et réfléchit à son rôle potentiel de mère, abordant ainsi le thème sensible des droits reproductifs. Le travail de Sandrine Morgante, Taalbarrière, fait apparaître, à travers des dessins ludiques, les déterminations culturelles, psychologiques, socio-économiques et géographiques des communautés linguistiques belges.
L'IKOB – Musée d'Art Contemporain décerne, depuis sa création, un prix d'art tous les trois ans. En , ce prix prend pour la première fois une position explicitement féministe. Étant donné qu’il s’agit du premier prix contemporain de ce type, l'IKOB est particulièrement conscient de l’importance de recentrer ce positionnement à nouveau en .
Prix d’entrée libre (recommandation : 6 euros)
Tous publics
