Festival '1 chanson peut en cacher une autre...'
e Festival « 1 chanson peut en cacher une autre… »
Du 16 au 30.10.
Vendredi 0 à br /> Marie Warnant (B) « Amour sans fin » | Garance (F) « Bleu »
Habituée du Festival (nous l'avons accueillie dès ), Marie s’approprie la chanson française à sa manière. Jolie plume, grain de voix particulier, cette musicienne touche à tout prend le temps de peaufiner chacun de ses opus pour les marquer d’une empreinte originale. Inclassable. Elle viendra, avec Cédric Van Caillie, présenter son monde singulier, libre, joyeusement doux-amer.
Garance est l’une des révélations de la chanson française de ces dernières années. Une voix forte et rebelle, des textes ciselés, et un univers bien ancré dans le monde d’aujourd’hui. Garance Bauhain chante à cœur ouvert, et décline avec talent nos émotions du quotidien, les petites aventures souterraines, les rendez-vous manqués, déceptions, colère et joie.
Samedi 0 à br /> Marion Roch (F) « Echos » | Daniel Hélin (B) « Pingouin »
Marion… Le mariage subtil de la chanson avec la musique « urbaine ». Une Edith Piaf ; une Barbara qui aurait mangé du hip-hop pour se mettre au slam. La voix, âpre et tendre à la fois, appuie des mots ancrés dans l’humain, forts, puissants, percutants qui nous touchent au cœur directement.
Daniel Hélin, classifié par certains de doux-dingue, marginal et foireux, les mots lui ouvrent une voie non balisée vers la liberté. Son ouvrage, ce sont les textes qui parlent du monde et sur lesquels il s’acharne comme un obsédé, bouté par une curiosité pure et dure. Un ami de très longue date.
Vendredi 0 à br /> Ivan Tirtiaux (B) « L’oasis » | Gérard Pierron (F) « Good bye Gagarine »
Ivan Tirtiaux nous revient avec son folk organique, son blues poétique et ses mélodies lunaires ciselées avec l'amour du mot. Sa musique se situe quelque part entre le blues tendre de Dick Annegarn, les ritournelles désenchantées de Nick Drake et l'eurythmie chaloupée de Chico Buarque.
Gérard Pierron : À l’heure où la chanson « d’expression » perd toujours un peu plus de terrain, un de ses plus consciencieux artisans, quelque part en Anjou, lutte contre l’oubli et l’abêtissement. À sa façon, modeste, les pieds ancrés dans la terre, avec style. Le mélodiste chanteur, ami d’Allain Leprest, amoureux des petits et grands auteurs, propose un opus intemporel en prise avec son époque. (Nicolas Brulebois)
Samedi 30.10 à br /> ilia (B) « ilia ilia » | Les obsédés du monde (F) « Dans la mesure du possible »
ilia ne ressemble à personne : jamais, elle n’a voulu courber l’échine, renoncer à sa liberté artistique.
Le son est au cœur de son travail pour emporter le spectateur dans un univers onirique qui fait honneur à la poésie. ilia offre à l’auditeur une chanson sincère chargée d’émotions et de sensibilité. Elle joue, chante et communique sans tricherie, loin d’un monde musical qui sent le préfabriqué commercial.
Entre Bobby Lapointe, les Têtes Raides et tant d’autres, les Obsédés du monde parlent d’humanité, d’amour et de désespoir. Sur scène, avec une trompette, deux guitares et trois voix, ils déclinent une chanson tragi-comique haute en couleur qui tantôt fait rire aux éclats, tantôt méditer. Bien décidés, qu’ils sont, à ne pas déposer les armes de la musique et de la poésie !
Info :
ou 080 88 05 CCSTP) |
Billetterie en ligne : 1chanson.be ou www.ccstp.be
Du 16 au 30.10.
Vendredi 0 à br /> Marie Warnant (B) « Amour sans fin » | Garance (F) « Bleu »
Habituée du Festival (nous l'avons accueillie dès ), Marie s’approprie la chanson française à sa manière. Jolie plume, grain de voix particulier, cette musicienne touche à tout prend le temps de peaufiner chacun de ses opus pour les marquer d’une empreinte originale. Inclassable. Elle viendra, avec Cédric Van Caillie, présenter son monde singulier, libre, joyeusement doux-amer.
Garance est l’une des révélations de la chanson française de ces dernières années. Une voix forte et rebelle, des textes ciselés, et un univers bien ancré dans le monde d’aujourd’hui. Garance Bauhain chante à cœur ouvert, et décline avec talent nos émotions du quotidien, les petites aventures souterraines, les rendez-vous manqués, déceptions, colère et joie.
Samedi 0 à br /> Marion Roch (F) « Echos » | Daniel Hélin (B) « Pingouin »
Marion… Le mariage subtil de la chanson avec la musique « urbaine ». Une Edith Piaf ; une Barbara qui aurait mangé du hip-hop pour se mettre au slam. La voix, âpre et tendre à la fois, appuie des mots ancrés dans l’humain, forts, puissants, percutants qui nous touchent au cœur directement.
Daniel Hélin, classifié par certains de doux-dingue, marginal et foireux, les mots lui ouvrent une voie non balisée vers la liberté. Son ouvrage, ce sont les textes qui parlent du monde et sur lesquels il s’acharne comme un obsédé, bouté par une curiosité pure et dure. Un ami de très longue date.
Vendredi 0 à br /> Ivan Tirtiaux (B) « L’oasis » | Gérard Pierron (F) « Good bye Gagarine »
Ivan Tirtiaux nous revient avec son folk organique, son blues poétique et ses mélodies lunaires ciselées avec l'amour du mot. Sa musique se situe quelque part entre le blues tendre de Dick Annegarn, les ritournelles désenchantées de Nick Drake et l'eurythmie chaloupée de Chico Buarque.
Gérard Pierron : À l’heure où la chanson « d’expression » perd toujours un peu plus de terrain, un de ses plus consciencieux artisans, quelque part en Anjou, lutte contre l’oubli et l’abêtissement. À sa façon, modeste, les pieds ancrés dans la terre, avec style. Le mélodiste chanteur, ami d’Allain Leprest, amoureux des petits et grands auteurs, propose un opus intemporel en prise avec son époque. (Nicolas Brulebois)
Samedi 30.10 à br /> ilia (B) « ilia ilia » | Les obsédés du monde (F) « Dans la mesure du possible »
ilia ne ressemble à personne : jamais, elle n’a voulu courber l’échine, renoncer à sa liberté artistique.
Le son est au cœur de son travail pour emporter le spectateur dans un univers onirique qui fait honneur à la poésie. ilia offre à l’auditeur une chanson sincère chargée d’émotions et de sensibilité. Elle joue, chante et communique sans tricherie, loin d’un monde musical qui sent le préfabriqué commercial.
Entre Bobby Lapointe, les Têtes Raides et tant d’autres, les Obsédés du monde parlent d’humanité, d’amour et de désespoir. Sur scène, avec une trompette, deux guitares et trois voix, ils déclinent une chanson tragi-comique haute en couleur qui tantôt fait rire aux éclats, tantôt méditer. Bien décidés, qu’ils sont, à ne pas déposer les armes de la musique et de la poésie !
Info :
Billetterie en ligne : 1chanson.be ou www.ccstp.be
Prévente par soirée : 14 € (15 € sur place) PASS 4 soirs : 36 € | PASS 2 soirs : 25 €
à partir de 12 ans
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