«On ne peut que conseiller ce Douleur et Gloire. (…) [Le film], avec sa rare sincérité, sa beauté majestueuse, ses émotions à fleur de peau, avive notre amour du cinéma, tout comme notre désir de vivre.» Catherine Lemaire, Journal des Grignoux, n°
Salvador Mallo, cinéaste espagnol renommé, ne va pas bien. Des maux physiques le rongent et, du côté du mental, ce n’est pas fameux non plus: il n’écrit plus rien et sort peu de chez lui. Seule pointe de lumière dans son horizon épuisé, une rétrospective à la Cinémathèque de Madrid. L’un de ses films majeurs vient d’être restauré et il compte le présenter. Lui qui n’a pas revu ce film en 3s redécouvre sa propre œuvre, en appréciant enfin les qualités et nuances. Le cinéaste replonge alors dans ses souvenirs.

«Le retour magistral d’Almodóvar, aux accents autobiographiques, à la sincérité bouleversante. Un film en forme de réconciliation avec soi-même, de consolation triste et belle face au temps qui passe. Antonio Banderas y est exceptionnel. (…) A tous ceux qui regretteraient les «grands» Almodóvar, on ne peut que conseiller ce Douleur et Gloire. (…) [Le film], avec sa rare sincérité, sa beauté majestueuse, ses émotions à fleur de peau, avive notre amour du cinéma, tout comme notre désir de vivre.» Catherine Lemaire, Journal des Grignoux, n°

Prix d’Interprétation Masculine (Antonio Banderas), Festival de Cannes .

De Pedro Almodóvar
Espagne – – 115’ – E.A. – V.O. St. Fr.
Avec Antonio Banderas, Penélope Cruz, Asier Etxeandia, Julieta Serrano,…