Les éditions de ce festival se succèdent et nous enchantent chaque année. On y apprécie des projets à peine éclos pendant une semaine riche de fraicheur et de diversité. Les cinq spectacles présentés sont choisis par notre partenaire, le Cocq’art Festival d’Ixelles, et c’est ensemble que nous découvrons le travail de ces compagnies. L’objectif commun qui nous tient à cœur et qui anime beaucoup de nos choix (même en dehors du festival) est de donner de la place aux jeunes et aux premiers projets. On défend cette idée et on vous invite à oser vous aussi vous laisser surprendre lors de cette septième édition.

Cinquième soirée du festival Cocq en stock qui se déroule du 10 au 15 juin.
Programme complet ici
0: Ce qui reste (théâtre)
Que reste-t-il quand tout s’effrite et se désagrège ? Que cherchons-nous à fuir au point de nous perdre nous-mêmes ? Quelle Histoire la maladie de l’oubli a-t-elle à nous apprendre ? «Ce qui reste», c’est une hypothèse, un portrait. Celui de Rose Petit, qui un jour s’est perdue. Celui des possibles raisons qui l’ont menée là. Celui des caractéristiques ou aberrations de notre époque qui nous font véritablement «perdre le nord». «Ce qui reste», c’est une perruque et une chaise. Une perruque comme une relique, une chaise comme unique alliée pour raconter toute cette histoire. Et des portes. Des portes qui s’ouvrent sur des souvenirs, des questions, des trous noirs et, peut-être, des perspectives.
Dans un seul en scène qui mêle le comique au tragique, une comédienne interroge la disparition progressive de sa grand-mère. Elle retrace l’histoire d’un microcosme forcé de s’adapter, de se réfléchir, de ruser d’inventivité pour entourer cette grand-mère dérangeante, qui tel un artiste ou un enfant, un bouffon ou un fou, vient bousculer l’ordre établi et renverser les règles immuables. Flirtant entre ses souvenirs à elle, ceux de ses proches et la réalité de notre société contemporaine, elle questionne surtout les curieux symptômes de cette maladie dite « du siècle ».

Yaya Bossa (concert)
Entre musiques traditionnelles et chants de luttes revisités, Yaya Bossa vous propose un concert plein de joie de vivre à travers les polyphonies à trois voix accompagnées d’une guitare, d’un accordéon et d’un cajon.
PRIX :
Adulte: 10 € /soir et 30 € /pass de la semaine
-ns: 8€/ soir et pass de la semaine
Hors abonnement
Chaque soir, repas du Traiteur Géraldine pour 1 réservation possible du repas en amont mais pas obligatoire.