Le soleil du Morgen ou le crépuscule des Vier letzte Lieder de Richard Strauss. L’énigmatique et sensuelle flute enchantée de Shéhérazade selon Ravel. Une plongée en forêt avec le Waldgespräch d’Alexander von Zemlinsky ou Le colibri d’Ernest Chausson, mais aussi des œuvres signées Brahms, Bloch et Spohr.
Après sa prise de voix dans notre Requiem, la soprano et harpiste Sandrine Piau revient à la Monnaie pour un récital dédié à une obsession personnelle : l’antagonisme entre l’ombre et la lumière. En compagnie de l’Ensemble Contraste, elle vous invite à une soirée de mystère, de nature et de poésie rassemblant des mélodies touchantes et contrastées.