Guillaume Tell  Concours

Parodie pour marionnettes, en bruxellois français.

D’Arthur Fauquez.
Adaptation d’Andrée Longcheval et José Géal.
Décors et costumes de Thierry Bosquet.

C’est en 1999 que Guillaume (Wilhelm) Tell ou la légende héroïque des Suisses, symbole universel de
liberté, fait son entrée dans le répertoire des Toone.
Jean-Philippe Weiss, alors directeur du Centre Dramatique Chablais - Riviera à Montreux, convainc V. José Géal - Toone Vii de mettre en scène l’illustre arbalétrier.
Le marionnettiste fait appel à son complice, l’auteur belge Arthur Fauquez qui, à l’âge de quatre-vingt-cinq ans, se lance avec fougue dans l’aventure de Guillaume Tell. Toutefois, il ne pourra mener son travail à terme. Andrée Longcheval et
V. José Géal prendront la relève pour terminer la dramaturgie.

Toone Vii sollicite Thierry Bosquet, scénographe de renom, qui a déjà conçu pour lui les décors et
costumes de Carmen d’après Georges Bizet et du Bossu d’après Paul Féval.
Les décors seront exécutés par le talentueux Alexandre Obolenski et les costumes par
notre excellente couturière Lidia Gosamo.
L’affiche du spectacle est de notre regretté peintre et chevalier Raymond Goffin.

Toone Vii réalise la mise en scène. Il travaille les accents des divers cantons de la
Confédération helvétique, en connivence avec le Suisse Jean-Philippe Weiss. La
création mondiale, à Montreux, remporte un énorme succès qui ne sera pas démenti à Bruxelles.
Maintenant Nicolas Géal - Toone Viii programme, à son tour, l’œuvre inspirée de Friedrich von Schiller.

Guillaume, rebelle à la tyrannie du bailli Gessler à la solde des Autrichiens, devient
l’emblématique indigné. Quant à notre personnage fétiche Woltje (voir photo), il n’est
rien moins que le fils du héros légendaire.

Comme dit Woltje : « c’est pour ma pomme ! »