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Avec ce circuit, nous entrons au cœur de la Hesbaye, au cœur de ces immenses étendues de terres fertiles qui pendant des siècles ont constitué un réservoir alimentaire extraordinaire pour notre pays. L'entité de Faimes est une image vivante de ce passé bien sûr mais aussi de l'évolution profonde et tangible que connaissent le monde agricole et le tissu rural. Les paysages bucoliques, qu'offre cette balade, changent de couleurs au fil des saisons et des cultures. Balisage : rectangle rouge. Départ : Cortil Jonet, rue Cortil Jonet
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Départ du Cortil Jonet qui dispose d'une plaine de jeux arborée et de terrains multisports.
La chapelle de Bonsecours se trouve dans un site ombragé par six beaux tilleuls. Elle a été reconstruite au XVIIIe siècle. Son appareil est en calcaire et en en grès. Il s'agit d'un polygone d'une toiture à 8 pans, surmonté d'une croix en fer forgé. La porte est ornée d'un fronton semi-circulaire portant le chronogramme Liberat/CI/DICatVM (1759).
Hubert Krains voit le jour le 30 novembre 1862 à Les Waleffes (Faimes). Son père est ouvrier agricole. À l'âge de seize ans, il doit renoncer à ses études pour prendre part aux travaux de la famille. Tenté par la carrière de fonctionnaire, il réussit des examens d'aide-télégraphiste et est engagé dans l'administration des postes. En 1882, il quitte définitivement sa région natale pour Bruxelles où il est nommé. Il y connaîtra une carrière exceptionnelle qui l’emmènera à Berne, Rome et Washington. Il atteindra le grade de Directeur Général des Postes en 1925 jusqu'à sa mise à la retraite en décembre 1927. Parallèlement à sa carrière dans l’administration, il collaborera à de nombreuses revues littéraires allant de « La Wallonie » d’Albert Mockel, au Thyrse, au Réveil, à la Vie Wallonne en passant par la Société Nouvelle. Son œuvre littéraire comprend deux romans profondément marqués par sa région natale : « Le Pain Noir » et au « Au Cœur des Blés » ; cinq recueils de contes et nouvelles et un essai critique « Portraits d’écrivains belges ». Le soir du 10 mai 1934, il mourut accidentellement à sa descente du train en gare de Bruxelles-Nord.