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Au départ du centre wallon d’art contemporain, partez vers les hauteurs d’Ivoz-Ramet, en passant par le ruisseau de la Rochette, le Bois Madame et ses arbres majestueux. De la rive droite de la Meuse, vous pourrez admirer la rive gauche et notamment le château de Chokier sur son promontoire rocheux.
DEPART: En bas de la rue Chefnay (entrée de "La Châtaigneraie")
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PHOTOS AERIENNES / IGN
OPEN STREET MAP
La sentier balisé commence sur le site de la Châtaignerie, à l'entrée de la rue Chefnay. Prendre le sentier à gauche du château et qui longe les châtaigniers.
Situé dans un cadre verdoyant, entouré de châtaigniers séculaires, le bâtiment abritant le Centre wallon d’Art contemporain « La Châtaigneraie » a été reconstruit entre 1830 et 1840. Aujourd’hui, ce site protégé du patrimoine de la région wallonne, est la propriété de la commune de Flémalle. Lieu de promotion mais aussi lieu de rencontre et de sensibilisation à l’art contemporain, le centre apporte sa contribution à l’histoire de l’art par la présentation de mouvements artistiques contemporains qui ont marqué sa région ainsi que par des rétrospectives. Il propose également un terrain d’expérimentation pour de jeunes artistes. Afin de compléter et d’enrichir sa mission d’éducation artistique, Le CWAC édite des ouvrages historiques, didactiques ainsi que des monographies illustrant les expositions présentées depuis 1979. Ainsi, certaines de ces publications telles que Le Groupe Art Abstrait, Les premiers wallons ou encore Libres échanges (histoire des avant-gardes en pays de Liège de 1939 à 1980), font aujourd’hui figure de références. Enfin, depuis 2005, avec l’aide WBI, Le CWAC organise des échanges artistiques internationaux (Pologne, France, Sénégal, Mexique..) et collabore avec l’Eurégio.
Durant les expositions, le centre est accessible de 14h à 18h, sauf le mardi de 14h à 17h ou sur RDV. Fermé le lundi, jeudi et jours fériés. Entrée libre
T. : 04 275 33 30 - www.cwac.be - chataigneraie@cwac.be
Vu que le parc de la Châtaigneraie est classé, nous ne pouvons pas mettre de balisage sur le site. La seule balise présente se trouve sur le petit bloc en béton sur le côté gauche du château. Ensuite, suivez le sentier qui longe les châtaigniers.
Initialement située contre l’église, elle a pris place à cet endroit un peu caché, bien abritée sous les frondaisons, quelques années après la dernière guerre.
On y trouve de nouveau Notre-Dame de Lourdes apparaissant devant Bernadette.
Soulignons que des mains discrètes mais efficaces entretiennent avec amour tous ces témoins du passé.
Jadis une mare occupait le milieu de la place, dominée par un Christ. Un jour, un vandale l’a jeté dans l’eau.
Repêché, il a été fixé contre ce mur et protégé de la pluie par une planchette. Pendant l’hiver 1949, Alfred Raickman construisit une potale en matériaux dur. Fin avril, aidé de son fils et d’un ami, il scella la pierre de base et fixa le Christ par dessus. L’inauguration eut lieu en mai. A présent, la Vierge veille sur la Place du Bati.
Vous devez ouvrir la clôture sanglier afin de continuer votre promenade.
Ici, point de chapelle ni de potale, mais un Sacré Cœur impressionnant par sa taille. Il a été érigé à la demande de Mr Capelle, alors propriétaire du château tout proche. Très pieux, ce vieux monsieur, à la fin de son existence pouvait ainsi se recueillir sans être obligé de quitter sa chambre.
Le Sacré Cœur, ou Sacré Cœur de Jésus, est un objet d’adoration dans l’Eglise catholique.
Cette dévotion s’est répandue au XVIIème siècle grâce à St Jean Eudes et à Ste Marguerite-Marie.
La fête du Sacré Cœur fut célébrée pour la première fois à Paray-le-Monial en 1685.
Profitez d'une pause grâce au banc installé à la fin du sentier de la Vieille Havée et possibilité de pique-niquer dans le pré face au banc. Beau panorama et parking à proximité.
Le nom de la rue fait référence à un groupe de résistants appelés « Insoumis ». Ils se cachaient dans les bois d’Ivoz durant la seconde guerre mondiale. L’appelation fait également référence à l’expression d’origine corse « prendre le maquis », signifiant se réfugier dans la forêt pour se soustraire aux autorités. Ceux qui prenaient le maquis étaient ainsi nommés les maquisards, terme devenu synonyme de résistants.
Aire de repos 2 bancs et une table au départ du parcours Vita. Cette aire se trouve sur l'itinéraire de la promenade balisée FM09