PLAN IGN
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PHOTOS AERIENNES / IGN
OPEN STREET MAP
Un lieu d’accueil et d’information
La maison du Parc Naturel se veut une porte d’entrée sur le Parc. En effet, toute l’année, l’équipe du Parc vous y accueille afin de vous renseigner sur ses projets et activités. Vous pourrez y trouver toutes nos brochures ainsi que nos cartes de promenades. Bien sûr, nous sommes également à votre écoute et nous nous ferons un plaisir de répondre à vos questions.
Le jardin au naturel
Situé à l’arrière de la maison du Parc Naturel, notre jardin au naturel permet d’illustrer différentes actions faciles à mettre en place chez soi au bénéfice de notre environnement et de la biodiversité. On y retrouve un potager, des plantes mellifères, des nichoirs à insectes, à oiseaux, à chauve-souris ainsi qu’une mare. De multiples panneaux didactiques donnent de précieux conseils. Ce jardin constitue un outil didactique privilégié pour les animations à destination des enfants mais il est également ouvert au grand public durant les heures d’ouverture de nos bureaux. Notre équipe se fera un plaisir de faire la visite.
Couloir Didactique
Le rucher didactique
En 2010, le PNHP a inauguré son rucher didactique . Un couloir de visite a été construit, permettant ainsi à tout un chacun d’approcher les ruches en toute sécurité et de découvrir par cet intermédiaire le monde passionnant des abeilles. Depuis lors, des ouvertures de ruche sont organisées chaque semaine en saison (d’avril à fin août suivant la météo).
Près de l’église d’Onnezies, côté chœur, la seigneurie principale possédait un château féodal (XIVe siècle) détruit par les troupes françaises qui ravagèrent notre région au cours du XVIe siècle.
Sur cet emplacement fut construit, dans la seconde moitié du XVIe siècle, la grande demeure de la Seigneurie de Rampemont dont il reste aujourd’hui la Tour Colombier, restaurée avec bonheur en 1969.
Ce poudingue (sédiment de roches dures), vieux de 370 millions d’années, a une hauteur de plus ou moins 25 mètres.
Selon la vieille croyance populaire, ces roches auraient, pour la plupart, une origine diabolique.
La légende raconte qu’en ce temps-là, Satan est prêt à tout pour s’opposer au dessein de l'Abbé Ghislain d’édifier l’abbaye d'Usidongue (actuellement Sainst-Ghislain).
Le Diable se met donc en route avec, sur l’épaule, un énorme rocher avec lequel il compte bien détruire l’édifice gênant. Son périple passe par la vallée de la Grande Honnelle où il aperçoit un pauvre qui hère, aux chaussures usagées, chargé d’un grand sac assez encombrant.
Le Diable le questionne sur la distance qu’il lui reste à parcourir jusqu’à Stavelot. Ce qu’il ignore c’est que le pauvre homme est un messager de l'Abbé Ghislain, voire l'Abbé Ghilain lui-même. Ce dernier lui dit venir d'Ursidongue et fait la description d’un voyage tellement long qu’il a usé un nombre incalculable de chaussures, bottes, souliers et sandales qu’il déverse de son sac.
Satan, découragé et dépité, décide alors d’abandonner le rocher au bord de la rivière. Et depuis lors, le Caillou ... bique en Haut-Pays !