PLAN IGN
Cette route suit le tracé exact de l'itinéraire régional de longue distance n°4 suivant un axe Ouest-Est. Elle emprunte d'abord le RAVeL du Canal de l'Espierres depuis la frontière française, à Estaimpuis. La route suit ensuite le cours de l'Escaut et traverse le centre-ville de Tournai. L'itinéraire continue de progresser sur les berges des rivières et canaux en enchaînant les RAVeLs du Canal Nimy-Blaton-Péronnes, du Canal du Centre (historique), du Canal Charleroi-Bruxelles. Après Charleroi, L'initénaire n°4 continue vers Dinant. Cet itinéraire relie, d'Ouest en Est : Estaimpuis > Tournai > Antoing > Grand Large de Péronnes > Péruwelz > Mons > La Louvière > Pont-à-Celles > Charleroi.
- Cet itinéraire est presque entièrement renseigné et fléché par la signalisation directionnelle spécifique du réseau RAVeL ; toutes les courtes liaisons entre RAVeLs, sur voiries locales, sont intégrées à ce parcours.
- Cet itinéraire est également balisé, en Wallonie picarde, par des points-nœuds numérotés. Ces balises points-nœuds sont géolocalisées en info parcours.
Plus de RAVeL ? ravel.wallonie.be
Plus de Points-noeuds en Wapi ? www.wapinature.be
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
OPEN STREET MAP
La Maison du Canal a ouvert ses portes dans une ancienne maison éclusière au bord du canal de l'Espierre. C'est dans ce paisible estaminet frontalier que vous pourrez vous désaltérer après une balade à pied ou à vélo. Depuis la réouverture du canal aux bateaux de plaisance, la Maison du Canal est un site très prisé par les promeneurs et les plaisanciers. Véritable lieu de vie, elle est à la fois une halte nautique (amarrage, points eau, électricité, accès wifi), un centre de location de vélos et pédalos et une aire de stationnement pour les motorhomes. Petite restauration toute l'année. RENDEZ-VOUS : Croisières organisées les dimanches après-midi d'avril à septembre. Thés dansants. « Canal Plage » en juillet-août.
Vaste écrin de verdure situé au cœur d'Estaimbourg, le parc de Bourgogne représente une offre unique (et gratuite !) dans la région pour divertir petits et grands. Avec son étang, son arboretum, ses enclos animaliers, son aire de jeux, ses terrains de pétanque, son labyrinthe, son mini-golf, sa cafétéria, son kiosque à musique, le domaine de 14 ha accueille chaque été de nombreuses manifestations.
Dans un cadre verdoyant et stylé, les arcades vitrées de l'Orangerie du Château de Bourgogne plongent sur un parc de 14ha. Cet espace d'exception permet d'accueillir un grand nombre de personnes pour des manifestations telles que conférences, congrès, séminaires. Tout est prévu ici pour favoriser les séances de travail en vue d'un résultat optimal.
Une fois le porche franchi, vous découvrez le Château du Biez, digne d'un conte de fées. Vous profiterez au maximum de la beauté du lieu, chaque salon disposant d'une vue sur le parc. L'intérieur est décoré avec chaleur et faste. Les prestations sont à la hauteur de la splendeur du site. De plus, les frères Thomaere, en excellents professionnels, feront de vos réceptions un vrai succès.
Film DE LA PIERRE AU CIEL
Avant de visiter la Cathédrale Notre-Dame de Tournai, l’Office du Tourisme vous propose de visionner le film « De la pierre au ciel ». En 20 minutes, Frédéric Gersal, chroniqueur histoire et patrimoine dans l’émission Télématin sur France 2, relate en images toute l’histoire de la cathédrale UNESCO, de sa naissance à l’édifice actuel. Il vous présente un bâtiment unique en Europe de par sa conception, sa taille et son architecture hors normes. La cathédrale étant en pleine rénovation, ce film permet de voir les parties les plus discrètes et intimes du monument en se rendant derrière et tout en haut des échafaudages. Les vues aériennes de ce joyau de l’architecture médiévale et les techniques 3D utilisées lors du montage du film permettent de compléter exhaustivement la visite partielle des lieux.
Film LE COULOIR DU TEMPS
Projeté à l’Office du Tourisme de Tournai, ce film multimédia est une bonne introduction à la visite de la ville. En 20 minutes, Bruno Coppens (humoriste et narrateur tournaisien) résume les 2000 ans d’histoire de la Cité des cinq clochers. De ses origines gallo-romaines à nos jours, personnalités et événements témoignent du riche passé de Tournai. Première étape du circuit d’interprétation du cœur historique de la ville.
Edifiée dans la première moitié du XIIe siècle, la cathédrale de Tournai se distingue par une nef romane d’une ampleur exceptionnelle, par la grande richesse sculpturale de ses chapiteaux, par un transept chargé de cinq tours et par sa charpente, l’une des plus anciennes d’Europe. La cathédrale témoigne surtout d’un échange d’influences considérable entre l’architecture de l’Île de France, rhénane et normande pendant la courte période qui précède l’éclosion de l’architecture gothique. Les dimensions
de la cathédrale Notre-Dame de Tournai, inédites pour l’époque, en font un exemple éminent de ces grands édifices de l’école du nord de la Seine qui préfigurent les volumes gigantesques des cathédrales gothiques.
Bien que l’édifice reste en partie accessible au public, la cathédrale bénéficie depuis quelques années d’une importante campagne de restauration, de conservation et de mise en valeur. Après s’être concentrés dans la nef romane, les travaux portent à présent sur le transept grâce à des procédés
techniques encore jamais éprouvés dans des chantiers de restauration. D’importantes fouilles archéologiques ont également été menées par le professeur Raymond Brulet (UCL) au coeur même de la cathédrale ; une mise en valeur permettra prochainement d’en révéler tous les secrets.
Le Beffroi de Tournai est le plus ancien beffroi de Belgique. Son acte fondateur date de 1188 mais son aspect actuel (7 niveaux en pierres bleues de Tournai) date davantage de la grande restauration achevée
en 1397. Le carillon de 1535, restauré et complété en 2004, compte 55 cloches.
Lors de la dernière restauration du beffroi (1992-2002), le monument a été entièrement repensé afin de renforcer son attrait touristique. Des panneaux explicatifs, des tables d’orientation et un spectacle
multimédia évoquant l’histoire et le rôle du beffroi aident les visiteurs à comprendre la richesse de cet édifice. La visite permet également de prolonger le circuit pédestre d’interprétation du cœur historique de
Tournai qui démarre à l’Office du Tourisme. Désormais, les touristes peuvent gravir les 257 marches du beffroi, qui leur offre, du haut de ses 72 mètres, un formidable panorama sur l’ensemble du Tournaisis.
Cet hôtel de maître, bien dissimulé au cœur de la ville, est consacré à l’art de la marionnette sous toutes ses formes. Les 2500 pièces de la collection se répartissent entre marionnettes traditionnelles ou contemporaines provenant des quatre coins du monde. Chaque année, de nouvelles poupées font leur apparition et actualisent la visite. Les activités s’articulent ici autour de 3 pôles : la création (avec le Créa-théâtre), la promotion et le Musée des Arts de la marionnette.
A travers ses différentes compétences, le centre de la Marionnette organise de nombreuses expos, animations pédagogiques et spectacles, éditions et documentations, stages, formations, festivals... Un vendredi par mois, venez découvrir le monde de la marionnette à travers un spectacle pour les adultes et un dimanche par mois, place aux enfants ! Et pour des visites plus ludiques, profitez des visites guidées et animées.
Le Centre de la Tapisserie, des Arts Muraux et des Arts du Tissu est, pour les arts textiles, l’un des cinq Centres contemporains mis en place par la Fédération Wallonie-Bruxelles. Son implantation à Tournai n’est pas anodine puisque la « capitale » de la Wallonie picarde fut, aux XVe et XVIe siècles, l’une des principales villes licières du pays. Le TAMAT est installé dans un très bel hôtel de Maître de style néo-classique, le Musée de la Tapisserie de la Ville de Tournai.
Les collections présentes au TAMAT sont le reflet de la diversité des arts textiles. Des tapisseries anciennes du XVe siècle, remarquable patrimoine de la Ville de Tournai, aux œuvres les plus contemporaines en passant par le mouvement d’après-guerre « Forces Murales », plus de 250 œuvres témoignent de 6 siècles de textile.
Le TAMAT abrite également en son sein des ateliers de recherches. Chaque année des boursiers viennent y travailler dans une liberté artistique totale. Un centre de documentation et d’études accueille chercheurs, étudiants, enseignants ou grand public dans le cadre d’études historiques ou biographiques. Et enfin, un atelier de conservation et de restauration permet au public de découvrir le travail lent et minutieux de préservation de la fibre. L’atelier est ouvert au public et les conservateurs-restaurateurs sont là pour répondre à toutes les questions.
Fondé en 1828 sous la période hollandaise, ce musée est le plus ancien du pays accessible au public. Et il a de quoi impressionner petits et grands avec son cabinet de curiosités, ses pièces spectaculaires comme la tortue géante d’Aldabra, le lion asiatique ou le varan de Komodo et ses animaux vivants... Cette collection riche de milliers de spécimens provient du monde entier. Des dioramas reproduisent l’environnement naturel de certains animaux. Quant au vivarium, il abrite une centaine d’espèces de reptiles, amphibiens, poissons et invertébrés dont certaines sont menacées.
En 1939, le musée s’installe dans l’ancienne brasserie de l’Abbaye Saint-Martin et acquiert le premier éléphant de Belgique. Ce bâtiment néoclassique conçu par l’architecte tournaisien Bruno Renard pour recevoir des collections zoologiques a été scrupuleusement conservé et vaut à lui-seul le détour. Il se situe à proximité de l’Hôtel de Ville, non loin du Musée des Beaux-Arts. Le Musée d’Histoire naturelle et Vivarium a obtenu en 2012 son classement de catégorie B. Visite gratuite le 1er dimanche du mois.
Abrité dans un édifice du XVIIIe siècle, ce musée illustre la riche industrie de la porcelaine de Tournai qui connut son apogée aux XVIIIe et XIXe siècles. Les services issus de cette manufacture sont uniques quant à la qualité esthétique de leurs motifs (oiseaux et fleurs bleus, roses ou verts ; liseré d’or ou d’argent...) et de leurs couleurs (camaïeux pourpres ou verts, bleu cobalt). Pièce maîtresse du musée : le service dit « aux oiseaux de Buffon », réalisé à la demande du duc d’Orléans.
A l’étage, découvrez le travail des orfèvres et des potiers d’étain tournaisiens et une importante collection de monnaies frappées à Tournai du XIIe au XVIIe siècle pour le compte des rois de France et d’Espagne.
Ce musée Art nouveau signé Victor Horta renferme la collection d’œuvres d’art moderne du mécène bruxellois Henri Van Cutsem et les deux seules œuvres de Manet exposées en Belgique. Les peintures et sculptures exposées vont des primitifs flamands (Campin, de la Pasture, Bruegel...) aux artistes contemporains. Les XVIIe et XVIIIe siècles sont représentés par Rubens, Jordaens, Snyders, Watteau... Du côté des impressionnistes, admirez les œuvres de Manet, Monet, Seurat, Van Gogh. Une place importante est laissée aux artistes belges (Ensor, Claus, de Braekeleer...) et aux artistes tournaisiens (Rogier de la Pasture, Gallait, Pion, Dumoulin...).
Le bâtiment lui-même mérite la visite. Il est le seul bâtiment conçu par l’architecte Victor Horta en Wallonie et son seul musée ! Inauguré en 1928, il se présente en forme d’étoile et est surmonté de coupoles en verre conférant une lumière naturelle aux œuvres. Les salles d’expositions s’articulent autour d’un grand hall consacré à la sculpture (œuvre de Dillens, Charlier, Minne), ouvert sur les salles de peintures plus intimes. En sortant du musée, admirez la statue de Louis Gallait réalisée par Charlier (1896) qui orne le parc communal.
Visite gratuite le 1er dimanche du mois (hors expo temporaire).
De multiples opportunités de détente vous sont offertes à Aqua Tournai : piscine intérieure et extérieure avec 4 toboggans, cafétéria avec terrasse, pédalos, île aux barbecues, jeux pour enfants et accrobranche ! Site idéal pour une journée de loisirs en famille, au bord de l’eau et au sein d’une réserve naturelle qui se visite grâce à des promenades-nature.
Oserez-vous descendre la tyrolienne de 306m, la plus longue de Belgique ? Sur le site de la Carrière de l’Orient, vous pourrez ensuite profiter de la piscine ou encore faire des balades en pédalos sur le lac... L’Ecopark Adventures est l’endroit idéal pour passer une journée en famille ou entre amis. Faites le plein de sensations fortes et partez à la découverte de la nature !
Résidence privée de Princes de Ligne qui a accueilli Philippe le Bon, Charles le Téméraire, Maximilien d’Autriche et bien d’autres. Regardez bien, si le drapeau flotte, c’est que le maître des lieux est présent. Ce château féodal domine toute la vallée de l’Escaut. Il est ceinturé de murailles fortifiées du XIIe siècle et son entrée est protégée par un bolewerk (impressionnant bastion fortifié). Au XIXe siècle, le château est entièrement reconstruit dans un style néo-gothique. Son donjon lui donne une allure de château de conte de fée. Le domaine couvre 72 ha. Les visites sont accompagnées uniquement. Accès au bolewerk, au musée lapidaire, aux oubliettes, à la salle des chevaliers, à la chambre et au sommet de la tour. Le manoir est privé et donc inaccessible. RENDEZ-VOUS : Les printanières aux Château (mai). Les médiévales aux Château (juin).
Ce lac artificiel de 45 ha permet de régulariser le niveau d’eau entre le canal Nimy-Blaton et l’Escaut. Endroit rêvé pour la pratique de divers sports nautiques : jet-ski (en aval du lac), aviron (en amont du lac), planche à voile, kayak... Le "Péronnes Yacht Club" et le "Tournai Yacht Club" y ont d’ailleurs leur base. De plus, le cadre est idéal pour une balade en famille le long des voies d’eau (RAVeL) ou pour un pique-nique. Pour les amateurs de VTT, plusieurs circuits fléchés sillonnent les environs.
C’est à 1992 que remonte l’idée de créer un port de plaisance à Péruwelz sur le canal Nimy-Blaton-Péronnes.
Grâce à la mobilisation du Met, de l’Administration des voies navigables, du Commissariat général au tourisme et de la ville qui a repris le port, accédant ainsi aux subsides, le site a pu être entièrement rénové à l’issue de deux ans de travaux.
Véritable havre de paix, ce parc paysager d'1 ha se caractérise par son côté décoratif des années 20. Allées sinueuses et vallonnées, recoins aux mille surprises, sentiers bucoliques et plans d'eau romantiques agrémentent votre balade à la découverte du jardin composé de feuillus, de conifères et d'arbres d'exception. Des cours d'horticulture sont donnés par le propriétaire, agronome et botaniste de formation, qui aime partager sa passion avec enthousiasme. Possibilité de loger dans les 4 chambres d'hôtes (2 épis et 4 épis) « La Naïade » : vue sur le jardin, vélos et meubles de jardin à disposition.
Au sein de la Maison du Parc naturel des Plaines de l’Escaut, l’Escale forestière est une véritable porte d’entrée sur la forêt de Bon-Secours (1000 hectares). Le centre d’interprétation Explor’forêt vous donne les clés de l’écosystème forestier (carnets WapAventure disponibles pour les 5-12 ans, www.wapaventure.be). Prenez un peu d’altitude pour découvrir la diversité et les richesses du Parc naturel des Plaines de l’Escaut dans le film Le voyage en ballon. Selon vos humeurs et vos envies, la forêt se découvre ensuite sous différents points de vue : crapahutez en famille dans La Pic’orée, un terrain sens dessus-dessous à l’orée de la forêt, ou immergez-vous à hauteur de feuillage sur le Promenoir des Cimes, structure architecturale de 50m, délibérément contemporaine.
Des aménagements en libre accès vous offrent un véritable bol d’air après votre visite : La Flânerie de la lisière, une boucle Randofamili d’un kilomètre dédiée aux poussettes et aux personnes à mobilité réduite (www.randofamili.com) et deux promenades familiales de 4 km en forêt.
Besoin d’infos sur les randonnées ? Envie de découvrir des produits locaux ? Intéressé par les projets du Parc naturel ? L’espace d’accueil vous informe sur les 500 km de sentiers balisés qui font le bonheur des randonneurs à pied, à vélo et à cheval mais également sur les sites naturels et touristiques du Parc naturel des Plaines de l’Escaut et plus largement de Wallonie Picarde.
La basilique est implantée sur le site d'un chêne qui servait, au Moyen Âge, de borne entre Péruwelz, Condé et Blaton. La statue de la Vierge a été sculptée avec une branche du chêne originel et a suscité bien des pèlerinages depuis le XVIe siècle, surtout quand la peste épargna Péruwelz. L'édifice actuel date de 1892. Tout à l'intérieur rappelle l'origine des pèlerinages : la Vierge domine le choeur, les vitraux illustrent le chêne et les chapelles successives, les céramiques de Max Van Der Linden racontent la vie de Marie et le rayonnement du culte de Notre-Dame de Bon-Secours. Son architecture suit les lois du style néogothique avec une note byzantine et sa forme octogonale entourée de chapelles est tout à fait particulière. RENDEZ-VOUS : journée mariale le premier dimanche de juillet, fête du Rosaire le premier samedi d'octobre.
En 1878, 29 squelettes complets de dinosaures sont retrouvés lors de l'exploitation du charbonnage de Bernissart (Fosse Sainte-Barbe).Le musée expose un vrai squelette d'iguanodon haut de 5 m et vieux de 130 millions d'années. Le musée présente aussi un ménosaure (premier reptile marin), des centaines d'autres fossiles et une impressionnante collection de minéraux. Les guides se mettent à la portée des enfants devenus pour l'occasion paléontologue (carnets de jeux disponibles à l'accueil). Un passage à l'aire de jeux extérieure s'impose après la visite.
Comme la plupart des sites humides de la vallée de la Haine, les Marais d’Harchies-Hensies-Pommeroeul proviennent d’affaissements miniers observés dès le milieu des années ’20. Les dépressions ainsi formées se remplirent rapidement d’eau pour donner naissance aux étangs. L’intérêt du site réside dans la présence de milieux humides à la faune riche et variée. Les ceintures végétales de ces étangs abritent des chemins très praticables parsemée de postes d'observation. Le Centre Régional d'Initiation à l'Environnement d'Harchies est le point de départ idéal de toutes vos balades et propose également des activités (animations, mise en place et aide à la réalisation de projets, stages, visites, formations, soirées thématiques) pour tout public en lien avec la Nature.
La forêt indivise de Stambruges est composée de peuplement de feuillus (fragments de hêtraie, chênaies acides sur sols sablonneux secs,...) et de conifères, principalement des pins sylvestres. La Mer de Sable, située au sud de cette forêt comporte de nombreux milieux remarquables : landes sèches, landes tourbeuses à bruyère, fosses à phaignes, forêt jeune de bouleaux têtards. Suivez la carte, elle vous indique plusieurs possibilités d’itinéraires... pour un plongeon dans une nature verdoyante... et surprenante !
Le Grand-Hornu est situé au coeur de la province de Hainaut et constitue un joyau du patrimoine industriel européen du XIXe siècle. Propriété de la Province de Hainaut depuis 1989, ce haut lieu de patrimoine est aujourd’hui l’une des plus importantes vitrines des Arts Contemporains en Belgique.
Outre la promotion des richesses architecturales de ce lieu si particulier, les équipes du MAC’s et du Centre d'Innovation etb de Design (CID) axent leurs activités sur l’art d’aujourd’hui, proposant de grandes expositions internationales temporaires d’art contemporain, de design et d’arts appliqués.
Un centre aquatique sub-tropical pour tous les âges et tous les types d'intérêts : bassin de sport, zone de loisir avec rivière rapide, lagune chaude et pataugeoire, sauna, hammam, etc. Possibilité de resrtaurer, en salle ou en terrasse, au Rest-eau-café. Aire de jeux cloturée pour les enfants.
Depuis mars 2015, 20 vélos classiques, 10 vélos à assistance électrique et 4 vélos enfant sont disponibles à la location à la Maison des Cyclistes, dans la gare de Mons, et auprès de la Maison du Tourisme de la région de Mons (VisitMons), sur la Grand-Place. Des tarifs très avantageux sont prévus lors de la location d'un vélo combinée à une entrée à une exposition dans le cadre de Mons 2015.
Infos et réservations
+32(0)65.33.55.80 – info.tourisme@ville.mons.be - www.visitmons.be
+32(0)65.84.95.81 - hainaut@maisondescyclistes.be - www.maisondescyclistes.be
Le Musée d’Histoire naturelle se présente aujourd’hui comme un musée didactique où les jeunes publics pourront trouver une intéressante illustration des notions de sciences naturelles et de nature. Il est un outil pédagogique et scientifique formidable pour la découverte de la nature et de la biodiversité.
Au cœur de la ville, l’espace invite le visiteur à la rencontre de la Ducasse de Mons, reconnue en tant que Chef-d’oeuvre de l’Humanité (2005). Entre réalité et imaginaire, grâce aux technologies, le centre s’attache également à comprendre et à valoriser les différents aspects de cette histoire multiséculaire.
Le BAM (Beaux-Arts Mons) est un musée à vivre qui accueille chaque année plusieurs expositions présentées sur près de 2.000 m². Celles-ci sont l'occasion de découvrir un artiste, un mouvement artistique ou une thématique en lien avec les collections du musée, riches de plus de 15.000 oeuvres d'art. Le BAM est conçu comme une expérience unique, un espace de découverte de la création artistique sous toutes ses formes, un lieu de vie aussi où se succèdent toute l'année des événements. Ce projet architectural résolument contemporain allie le fonctionnel et la rigueur muséale à l'esthétique puisque l'architecture du musée laisse la part belle aux espaces de circulation lumineux prenant le parti de la transparence.
Le "souterrain" partant de la cour intérieure débouche sur un jardin public calme et reposant, aménagé entre 1930 et 1936, lequel rejoint la rue d'Enghien par la sortie de l'Hôtel de Ville depuis 1372. Les concerts de carillon du Beffroi y sont particulièrement audibles. On y trouve également la sculpture du Ropieur (Gobert, 1937), qui éclabousse l'eau de sa fontaine sur les passants, symbolisant l'esprit ironique du gamin montois.
La Grand-Place est le véritable coeur de la ville historique. Elle se situe tout près de la rue commerçante (piétonnière) et du beffroi. Elle est pavée à la manière des vieilles villes et abrite de nombreux cafés et restaurants, ainsi que l'Hôtel de ville. Chaque année, elle est le théâtre du combat dit Lumeçon, combat légendaire de saint Georges contre le dragon.
Classé au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1999. Cet édifice de 87 mètres de haut est l'unique beffroi de style baroque en Belgique.
La Chapelle Saint-Calixte de Mons abrite le musée du Château Comtal. On y découvre une exposition sur le Beffroi, des vestiges et autres fresques.
La Chapelle Saint-Calixte est le bâtiment religieux le plus ancien de Mons. Vous pouvez visiter ses expositions et son décor intérieur.
La Chapelle Saint-Calixte, qui tient son nom d'un pape, date du XIème siècle était ornée de fresques romanes découvertes au XIXe siècle, et reconstituées au XXe siècle. La voûte gothique date du XIVe siècle et la crypte, qui était auparavant une cave du château, est en matériaux frustes. Le Musée du Château Comtal comporte des trouvailles archéologiques, des iconographies médiévales, des vestiges du château et d'autres objets très intéressants. Le Beffroi de Mons, reconnu comme Patrimoine Mondial de l'Humanité par l'UNESCO, et son parc jouxte l'ensemble.
Rare exemple de maison de tradition espagnole à Mons, la Maison espagnole remonte aux XVIe et XVIIe siècles, mais elle fut fortement restaurée au début du XXe siècle. Alors que le rez-de-chaussée compte deux baies du XVIe siècle, le premier étage et l’étage supérieur s’ouvrent sur plusieurs petites ouvertures de tailles différentes du siècle suivant. Une construction en briques y a été adjointe au XVIIe siècle. Restauré au XIXe siècle, la Maison espagnole fut rétablie par la suite dans son état primitif.
La Collégiale Sainte-Waudru, église de style gothique brabançon, a été bâtie à l'initiative des chanoinesses. La construction de l'édifice a débuté en 1450 par le chœur, terminé vers 1506. Le transept fut achevé en 1527 et les travaux d'édification de la nef se prolongèrent jusqu'en 1621. Avec un plan en forme de croix latine et 29 chapelles autour de la nef principale, du transept et du choeur, le bâtiment forme un ensemble unique reconnu comme Patrimoine exceptionnel de Wallonie. Eglise privée et personnelle des chanoinesses de Sainte-Waudru, elles avaient rêvé pour couronner leur collégiale d'une tour de 190 mètres en façade occidentale. Cette tour, dont les premières pierres furent posées vers 1549, ne fut jamais terminée. Les travaux furent définitivement arrêtés en 1686/1687.
A VOIR :
Le TRÉSOR : l'un des plus beaux ensembles d'orfèvrerie religieuse en Belgique. Les RELIQUAIRES de Sainte Waudru : l'un contenant le corps (la châsse), l'autre la tête (le chef). Les ŒUVRES DE JACQUES DUBRŒUCQ (1505-1584) : maître-artiste de l'empereur Charles-Quint, il réalisa un jubé de style Renaissance dont il ne reste que les statues et bas reliefs en albâtre principalement visibles dans le choeur et le transept. Les plus anciens VITRAUX : particulièrement les cinq verrières du chevet, réalisées par un maître verrier montois et offertes en 1510-1511 par l'empereur Maximilien d'Autriche. Les SCULPTURES : notamment les statues en pierre blanche de Saint-Michel terrassant le démon et de Sainte-Waudru. Le CAR D'OR : véhicule en bois peint doré de style Louis XVI (1780/1781), il sert lors de la Procession annuelle de la Trinité (Doudou).
Face à la collégiale Sainte-Waudru, découvrez un exceptionnel musée d’arts décoratifs (1775-1825) à vocation multiculturelle, humaniste et didactique avec non seulement une prestigieuse collection de pendules, unique au monde, mais également de majestueux bronzes dorés français, superbes porcelaines (surtout de Paris et Bruxelles), somptueuses orfèvreries (dont le réputé poinçon montois), rares bijoux (dont un précieux ensemble de camées) et innombrables objets de haute curiosité.
Le Musée François Duesberg est le seul lieu touristique de la ville à compter 3 X 2 étoiles au prestigieux Guide Michelin, LA référence en la matière. Deux 2 étoiles lui ont été décernées pour l’extraordinaire collection de pendules, deux autres étoiles pour la qualité du musée, et les deux nouvelles pour sa merveilleuse collection de porcelaines.
Connaissez-vous vraiment le patrimoine montois? Grâce à des dispositifs multimédia interactifs, expérimentez à l’Artothèque une nouvelle manière de découvrir les collections et la vie cachée des musées de Mons.
Centre d'archives de la Fédération Wallonie-Bruxelles et espace d'exposition temporaire. Aujourd'hui c'est Google-même qui reconnait en le Mundaneum de Paul Otlet et Henri La Fontaine ses propres racines : la préfiguration du web et de l'organisation de l'information en réseau. Un lieu exceptionnel.
Le Manège Mons Maubeuge est une scène transfrontalière proposant chaque année plus d’une centaine de spectacles, saison et festivals confondus.
Une salle de concert à l’acoustique exceptionnelle, une Chapelle du silence, un Passage des rumeurs dédié aux expos et une Salle d’émerveillement sonore.
La chapelle dédiée à Saint-Nicolas, patron des marchands, date du XIIe siècle. Elle faisait partie de l’hôpital Saint-Nicolas de la rue d’Havré. Cette chapelle, très peuplée dès le départ par une majorité de commerçants, est érigée en paroisse en 1224. Une église est ensuite bâtie au XVe siècle, mais sera malheureusement incendiée en 1664 et complètement détruite, à l’exception de sa tour. L’édifice est immédiatement reconstruit sur les plans de l’architecte du Beffroi ; Anthony. Style et décoration La façade et la décoration intérieure sont de style baroque. Le chœur et plus particulièrement le maître-autel baroques valent le coup d’œil. Parmi les objets dignes d’intérêt, citons la masse de la paroisse et la statue de Notre-Dame de Montserrat, qui défilent chaque année dans la procession du Doudou, la grande fête folklorique montoise. Après les travaux… Cachée par des échafaudages pendant plus de 20 ans, l’église Saint-Nicolas-en-Havré dévoilera bientôt ses nouveaux atours et offrira à la vue de tous des façades rénovées, un vitrail contemporain, une nouvelle toiture, ainsi qu’une tour et un clocher flambant neuf ! L’occasion idéale de (re)découvrir cette magnifique église !
Revivre le quotidien des soldats, aller à la rencontre d’hommes et de femmes témoins des deux guerres
mondiales... Voici ce qui vous attend en poussant les portes du Mons Memorial Museum situé au cœur d’un territoire de mémoire portant les traces des conflits passés.
Les Abattoirs, c'est d'abord un lieu qui vaut le coup d'œil de par son ampleur et sa qualité architecturale. Un lieu qui a une histoire aussi. Les Abattoirs furent construits en 1854-1855 par l'architecte Sury, dans le style Lombard. A l'origine, la Trouille passait le long du bâtiment. Des fossés et des réservoirs à poissons y avaient été aménagés. Le quartier était d'ailleurs appelé le " Quartier de la Pêcherie " et, plus tard, le " Quartier du Grand Trou Oudart ", du nom d'une famille de pêcheurs. Classé en 1985, le site a subi une première phase importante de restauration, essentiellement sur les aspects extérieurs du bâtiment.
Totalement réaménagée et adaptée à ses nouvelles fonctions, cette architecture est sans nul doute un bel exemple de reconversion d'un bâtiment typiquement XIXe siècle, comme Mons en possède déjà de nombreux exemples: le Carré des Arts, la Machine à Eau, le Théâtre du Manège...
Cette réouverture permet d'identifier cet espace comme étant un futur haut lieu culturel montois, proche de l'Ecole Supérieure des Arts Plastiques et Visuels (ESAPV), où artisanat de création, art sonore et beaux-arts se côtoient régulièrement à travers de grandes expositions organisées dans la grande halle.
Achevés et mis en service en 1917, soit près de 30 ans après l’inauguration de l’ascenseur n°1, les ascenseurs n°2, 3 et 4 présentent une structure métallique et une configuration technique pratiquement identiques. Seul quelques adaptations techniques les diffèrent de leur prédécesseur.
Ce type de pont, extrêmement rare en Wallonie, est en équilibre permanent. Pour l’ouvrir, il suffit de déplacer son centre de gravité. A l’origine, le pontier tirait sur une chaîne placée du côté du contre-poids.
Cet ascenseur est le plus grand au monde ; il permet aux bateaux de franchir un dénivelé de 73 mètres en une seule opération. L’ascenseur se visite aussi de l’intérieur avec notamment une vue sur la salle des machines et un superbe panorama sur l'ensemble de la région environnante. L'ascenseur de Strépy-Thieu est aussi le site de départ de plusieurs excursions fluviales proposées par les Voies d'Eau du Hainaut.
Il ne reste en Wallonie que quelques exemplaires de ce type de ponts. Toujours manœuvrés par la force humaine, ces ponts tournants pivotent autour d’une roue dentée centrale. Ces ponts sont donc des chefs-d’œuvre de précision et d’équilibre.
Ces ponts sont encore aujourd’hui exclusivement manœuvrés par l’énergie humaine. Introduisant une manivelle au centre du pont, le pontier actionne une roue dentée qui se meut autour d’une couronne fixe. Dès que le pont se met à tourner, il repose uniquement sur la lentille centrale, une sorte de pivot en bronze de 10 cm de diamètre. Le pont en cours de rotation est donc un exemple étonnant d’équilibre.
Sur la rive droite, le bâtiment de la salle des machines prend des allures de châteaux fort avec son style néogothique. Il dessert, en eau sous pression, à la fois l’ascenseur n°2 et l’ascenseur n°3 et abrite les bureaux et ateliers de la Direction Générale des Voies hydrauliques du bassin de l’Escaut du Ministère de l’Equipement et des Transports.
Achevés et mis en service en 1917, soit près de 30 ans après l’inauguration de l’ascenseur n°1, les ascenseurs n°2, 3 et 4 présentent une structure métallique et une configuration technique pratiquement identiques. Seul quelques adaptations techniques les diffèrent de leur prédécesseur.
Avec celui de Strépy-Bracquegnies, ce pont est l'autre magnifique pont tournant du Canal du Centre historique. Sur la rive droite, à gauche de l'image, l’ancienne maison pontière comporte une tourelle garnie de fenêtres pour l’observation panoramique du canal.
Le site minier du Bois-du-Luc est un témoignage exceptionnel de l’ère industrielle. Remarquable de par l’intégrité et l’authenticité de son héritage patrimonial, illustration éloquente de l’impact de l’industrialisation aux niveaux technique, paysager, architectural et social.
Le site minier appartient à l’histoire d’une société charbonnière qui se distingue par sa longévité. Née en 1685, elle ferme ses portes en 1973. C’est en 1846 que s’ouvre la fosse Saint-Emmanuel dans le lieu-dit du Bois-du-Luc. Celle-ci forme le noyau fondateur d’un complexe industriel et social remarquablement conservé. En face des lieux de travail, un remarquable village ouvrier comprend une cité et un ensemble d’équipements sociaux, culturels, festifs et religieux bâtis de 1838 à 1923. Depuis 1983, le premier Ecomusée de Belgique occupe le site minier dans le but de sauvegarder et de valoriser le patrimoine industriel dans ses dimensions tangibles et intangibles.
VIE SOCIALE :
La vie sociale sur le site du Bois-du-Luc est l’expression concrète d’un paternalisme qui vise à encadrer l’existence de l’ouvrier et de sa famille afin d’assurer le bien-être mais aussi le contrôle des travailleurs.
Au charbonnage répond une cité qui au fil du temps deviendra un modèle complet de village industriel. Les ouvriers se nourrissent, se délassent, se soignent, s’instruisent et prient dans l’enceinte d’un village surveillé depuis la Maison directoriale.
Lancées dans la bataille du fer afin de répondre à l’énorme demande du secteur ferroviaire, les usines Gustave Boël procédèrent, en 1946, à un recrutement de manœuvres dans le Nord de l’Italie. En 1947, 223 ouvriers italiens sont logés en bordure du Canal du Centre et de l’usine, dans quatre blocs sommairement construits comprenant chacun huit logements de 30 m² avec, en leur centre, un bâtiment servant de cantine.
Moins spectaculaire que les ascenseurs, ce lieu de mémoire est néanmoins incontournable pour qui veut approcher le passif émotionnel d’un territoire de labeur et d’une partie de ses habitants. L’une des ailes de ce bâtiment abrite une chambrée reconstituée et le Centre d'Interprétation de l'Immigration en Région du Centre. Il s'agit d'une exposition permanente de près de 100m² consacrée aux phénomènes migratoires qui ont modelé le visage et les habitudes des gens de la Région du Centre depuis la Révolution Industrielle.
Un pont-canal permet aux bateaux d’atteindre le premier ascenseur. Inauguré en 1888, cet ascenseur hydraulique permet aux bateaux de franchir une chute de 15,397 mètres. L’édifice qui jouxte l’ascenseur abritait, au premier étage, le corps de logis du chef-mécanicien et de sa famille et, au rez-de-chaussée, la salle des machines qui permet de maintenir sous pression l'eau contenue dans les pistons souterrains de la machine.
Keramis est un espace d'art et de culture, de recherche et de création dédié à la céramique. Il conserve, étudie et valorise les témoins matériels et immatériels de la production faïencière de l'entreprise Boch La Louvière (1841-2009) avec la collaboration scientifique du Musée de Mariemont.
Le musée Ianchelevici est situé dans l'ancien Palais de Justice de La Louvière. Grâce à sa collection permanente, le musée présente tous les aspects de l'oeuvre de l'artiste d'origine roumaine Idel Ianchelevici (1909-1994): le dessin, la sculpture (modelages en plâtre et tailles directes) mais aussi la vie de l'artiste, les grandes étapes de sa carrière, ses apports à la numismatique et à la philatélie. Le musée mène par ailleurs une politique active d'expositions temporaires centrées sur l'art contemporain.
Cette belle institution occupe un bâtiment datant du début du 20ème siècle et qui abrita successivement une piscine, une usine et des boutiques. La rue de ce Centre débouchait sur la vieille église dite « de Baume » édifiée au fond de la future place Mansart ; voilà pourquoi cette ruelle s’est débord appelée « rue du Curé », avant de devenir, pour d’autres raisons, la « rue des Amours ».
On ne peut qu’être épris du Centre de la Gravure et de l’Image imprimée actif dès 1984, avant d’être inauguré officiellement en 1988. Ses responsables sont prestigieux : André Balthazar, le premier directeur, et Catherine de Braekeleer qui lui a succédé en 1995.
Agrandi en 2011, le Centre se veut un lieu didactique et ludique consacré à diverses activités, celles d’un musée (entre autres) présentant des expositions et des collections (9000 estampes et 2000 affiches), sans oublier l’organisation de stages pour enfants et adultes, les ateliers, les conférences et 7 mallettes pédagogiques. Il s’agit d’éveiller l’imaginaire artistique, en s’aidant aussi d’une bibliothèque composée d’un millier de livres.
Depuis 1989, le Centre décerne chaque année le Prix de la Gravure et de l’Image imprimée, et il a lui-même reçu le Prix des Musées en 2013.
Le domaine est constitué d'un Château de style néo-classique construit au XVIIIe siècle qui abrite la plus belle collection d'orfèvrerie de Belgique, un théâtre, une orangerie, une volière et un parc à l'anglaise de 22 hectares avec un jardin à la française, un étang et une île reliée à la rive par un pont très romantique. Le site propose aussi des expositions en plein air. Accès gratuit au parc.
Le Centre de délassement de Claire-Fontaine à Chapelle-Lez-Herlaimont (à proximité des axes autoroutiers) vous accueille dans un cadre verdoyant, proche d'une réserve ornithologique.
Vous pouvez goûter aux plaisirs nautiques (plan d'eau, toboggan nautique, pédalos, pêche, mini-golf, pétanque, beach-volley,...), laisser vos enfants se dépenser à la plaine de jeux et savourer une spécialité régionale à la cafétéria.
Relier Bruxelles aux bassins miniers du Hainaut nécessitait de franchir la crête de partage entre le bassin de l’Escaut et le bassin de la Meuse au lieu dit de la Bête Refaite, aux limites de Seneffe et de Gouy. Le premier canal, d’un gabarit de 70 tonnes, ne peut voir le jour que par le creusement d’un premier tunnel de 1.267 mètres de long appelé le tunnel de la Bête Refaite. En 1885, ce tunnel de la Bête Refaite est remplacé par le tunnel de Godarville, plus large, d’un gabarit de 300 tonnes. Une impressionnante porte d'acier nichée au creux d'une vallée ferme aujourd'hui ce tunnel désaffecté par les bateaux mais colonisé par deux espèces de chauves-souris.
Ce musée, implanté dans une architecture de béton, de verre d’acier évoquant l’univers de Le Corbusier, a remplacé le château du XIXème siècle détruit par un incendie en 1960. Inauguré en 1975, il abrite des collections de pièces remarquables des civilisations classiques, Egypte, Grèce, Rome, et de la Chine. Une large place est également accordée aux arts décoratifs européens, à l’archéologie et à l’histoire locale. On retiendra aussi sa somptueuse bibliothèque où se trouvent des livres précieux rassemblés par l’industrie Raoul Warocqué ainsi qu’un ensemble unique de porcelaines de Tournai.
Le parc, de style paysager, mêle harmonieusement pelouses, étangs et massifs de frondaisons, arbres multiséculaires et essences exotiques, auxquels s’intègrent des sculptures monumentales et les ruines romantiques du palais de Charles de Lorraine. Entièrement clos de murs, il couvre une superficie d'environ 45 ha, auxquels il faut ajouter celle de l'allée d'accès, dite «drève de Mariemont», et des vergers attenants sur une profondeur de 35 m de part et d'autre.
Un bâtiment vertical, de quelques 75 m de haut, de forme elliptique, tout de bleu vêtu: voilà à quoi ressemble la pièce maîtresse du nouvel hôtel de la police carolorégienne. L'imposant bâtiment, qui se double d'une importante extension des installations de la compagnie Charleroi Danses, sise juste à côté.
En 1668, l'emplacement de l'actuelle basilique Saint-Christophe est déjà occupé par une chapelle de garnison, construite sur l'ordre de Louis XIV. La jeune forteresse de Charleroy n'est alors bâtie que depuis deux années à peine. La chapelle est dédiée à Saint-Louis, ancêtre de Louis XIV; le culte présent dans la cité passe alors de Saint-Christophe à Saint-Louis, Saint-Christophe, patron du passage des eaux, étant auparavant vénéré dans l'ancienne église de Charnoy, en bord de Sambre.
Le Beffroi de Charleroi est le plus jeune beffroi de Wallonie. Mélangeant classicisme et Art déco, il est inauguré le 18 octobre 1936 au coeur de l’ancienne forteresse. Construit en pierres bleues, en pierres blanches, en briques spéciales et couronné de bronze, il complète l’ensemble architectural de l’hôtel de ville.
Il s’agit d’une tour de 70 mètres de haut divisée en plusieurs niveaux dont les trois derniers sont réservés aux chambres du carillon. Composé de 47 cloches, celui-ci égrène, chaque quart d’heure, quelques notes
de mélodies de Jacques Bertrand (1817-1884), chansonnier wallon. Des visites guidées sont organisées pour des petits groupes.
Véritable pôle régional des arts de la scène, le Palais des Beaux-Arts de Charleroi - fondé en 1957 - possède l’un des plus grands plateaux et l’une des plus belles salles de spectacles de Wallonie. Le Musée des Beaux-Arts de Charleroi est installé dans les murs du Palais ; ses collections mettent principalement en exergue les mouvements artistiques qui se développèrent en Belgique, surtout en Wallonie, aux 19e et 20e siècles.