PLAN IGN
Les Carrières de Chokier – élément incontournable du patrimoine mosan
Site Natura 2000 à Flémalle
La réserve naturelle de Chokier constitue l’un des fleurons du patrimoine de la commune de Flémalle et de la Meuse liégeoise plus généralement. Il n’est pas question, ici, de bâtisses anciennes ou de vieilles inscriptions mais d’un patrimoine naturel et paysager.
Il y a une quinzaine d’années, l’association de protection de la nature – Natagora - a passé une convention avec la commune de Flémalle pour la création d’une réserve naturelle à Chokier. Depuis lors, une équipe de bénévoles s’occupe de faire connaître, de préserver et de gérer la grande biodiversité que renferme le site.
En effet, ces anciennes carrières de pierre calcaire offrent un refuge à de nombreuses espèces animales et végétales parfois très rares. N’oublions pas que nous sommes aussi dans une région très urbanisée dans laquelle des abris naturels de cette envergure, où la biodiversité peut s’épanouir, ne sont pas légion.
Ainsi pourrez-vous découvrir des plantes méditerranéennes qui ne se retrouvent qu’ici dans le bassin liégeois et qui arrivent, à Flémalle, sur leur limite nord de dispersion…
De la mi-juillet à la mi-novembre, vous pourrez observer également des moutons écossais Blackfaces.
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PHOTOS AERIENNES / IGN
OPEN STREET MAP
Rendez-vous au bunker (chemin en cul de sac), scannez le QR Code et écoutez la légende des Trolls de la réserve aux roches, racontée par Vincent Delré.
Les Carrières de Chokier – élément incontournable du patrimoine mosan
Site Natura 2000 à Flémalle
Accès par la rue Houlbouse ou la gare de Flémalle-Haute
La réserve naturelle de Chokier constitue l’un des fleurons du patrimoine de la commune de Flémalle et de la Meuse liégeoise plus généralement. Il n’est pas question, ici, de bâtisses anciennes ou de vieilles inscriptions mais d’un patrimoine naturel et paysager.
Il y a une quinzaine d’années, l’association de protection de la nature – Natagora - a passé une convention avec la commune de Flémalle pour la création d’une réserve naturelle à Chokier. Depuis lors, une équipe de bénévoles s’occupe de faire connaître, de préserver et de gérer la grande biodiversité que renferme le site.
En effet, ces anciennes carrières de pierre calcaire offrent un refuge à de nombreuses espèces animales et végétales parfois très rares. N’oublions pas que nous sommes aussi dans une région très urbanisée dans laquelle des abris naturels de cette envergure, où la biodiversité peut s’épanouir, ne sont pas légion.
Ainsi pourrez-vous découvrir des plantes méditerranéennes qui ne se retrouvent qu’ici dans le bassin liégeois et qui arrivent, à Flémalle, sur leur limite nord de dispersion…
De la mi-juillet à la mi-novembre, vous pourrez observer également des moutons écossais Blackfaces.
Visites guidées sur demande pour les groupes de 10 personnes minimum.
A l'entrée de la petite grotte se trouve le QR Code. Scannez le et écoutez la légende du Dragon de la Grotte, racontée par Didier Boclinville.
Assez souvent, dans des carrières abandonnées, une grotte a été aménagée, un peu semblable à celle de Lourdes. On en verra aux Awirs, à Chokier, aux Cahottes et à Mons. Chacune est dédiée à Notre-Dame de Lourdes. Est-il encore nécessaire de rappeler que cette ville des Pyrénées est le centre d’un des pèlerinages les plus fréquentés du monde catholique ? L’histoire est jolie : Bernadette Soubirous naquit en 1844. À cause de sa santé fragile, la fillette ne put jamais fréquenter l’école ni faire sa première communion. Ses parents vivaient des maigres ressources apportées par le père qui était meunier. Bernadette ne s’exprimait qu’en patois pyrénéen et c’est dans cette langue qu’elle entendit 18 fois, à la grotte de Massabielle, la voix d’une belle Dame en même temps qu’elle la vit apparaître. L’enfant écouta le message, découvrit une source et obtint alors de la belle Dame qu’elle se nomme : C’était l’Immaculée Conception. On était le 11 février 1858. Bernadette ne revint jamais sur les paroles qu’elle avait entendues et répétées. Plus tard, elle apprit à lire et à écrire et reçut la première Communion. À 22 ans, elle entra dans la congrégation des Sœurs de Nevers où, à l’âge de 35 ans, elle mourut subitement, le 16 avril 1880. Béatifiée en 1925 puis canonisée en 1933 par Pie XI, son corps parfaitement conservé est visible dans une châsse de verre à la chapelle du couvent Saint Gildard à Nevers. La fête de Notre-Dame de Lourdes est fixée au 11 février.
Vaste zone de loisirs et sportive avec: le Centre culturel de Flémalle, une piste d'athlétisme, des terrains de tennis intérieurs et extérieurs, terrain de football, petite plaine de jeux, la Maison des Jeunes, la salle omnisports, piste de pétanque, cafétéria, le tout dans un cadre verdoyant, à deux pas de la réserve naturelle "Aux Roches"