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Savais-tu que le Pays des 4 Bras compte de nombreux trésors ? Bzzz la petite mouche est la seule à tous les connaitre. A l’aide d’un carnet de promenade truffé d’énigmes et de petits jeux, pars à la conquête des villages de notre beau territoire pour en découvrir tous les secrets ! Si tu parviens à répondre à ses questions, Bzzz te dira même comment ouvrir la boite au trésor ! Viens chercher tes carnets gratuitement au Relais du visiteur à Genappe, au Syndicat d’initiatives de Villers-la-Ville ou chez les commerçants locaux.
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PHOTOS AERIENNES / IGN
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L’église a été construite en 1875. La tour et le clocher font 48 mètres de haut ! Pendant la deuxième Guerre mondiale, les Allemands manquent vite de matières premières et surtout de métaux pour construire des armes. C’est ainsi que le 3 août 1943, l’armée allemande vole les cloches de l’église de Villers-Perwin. Elles sont fondues et leurs métaux sont utilisés pour faire des armes.
C'est ici qu'en 1921, nait Arthur Grumiaux, un musicien qui deviendra connu internationalement. Mais quel instrument jouait-il ? Indice, cherchez la sculpture sur la place !
En 1977, la N.A.S.A envoi une sonde "Voyager" dans l'espace. Elle y dépose un message de la part de l'humanité destiné à d’éventuels extraterrestres… Parmi le message figure un enregistrement de la 3e Partita de Bach interprétée par Arthur Grumiaux.
A côté de la place Hneri Bultot, se trouvent deux monuments aux morts, l'un dédié aux victimes de 14-18, l'autre aux victimes de la deuxième guerre mondiale. Des anciennes photos illustrent l'inauguration du monument en 1948.
À Villers-Perwin on aime faire la fête ! Chaque année en septembre, les Villersois organisent une grande ducasse avec des concerts, des jeux et un tas d’activités délirantes. Le « Tour di Villé », tour à vélo costumé, est le clou du spectacle ! La fleur est le symbole de la ducasse. Les habitants s'offrent les fleurs et les collent à leur fenêtre ou sur leurs boites aux lettres. Chaque année, elle change de couleur.
Au bout de la rue du calvaire, se trouve une petit potale. Durant la guerre, elle a servi de lieu de rendez-vous pour les résistants. C’est ici même qu’ils s’échangeaient des messages secrets et élaboraient des plans pour combattre l’ennemi. Si la potale n’est plus d’origine, les cinq arbres qui l’entourent le sont.
Empruntez le chemin de terre à droite de la potale, vous y aurez une belle vue sur le champ d’éoliennes. Les onze éoliennes permettent de fournir, chaque année, près de 200 familles en électricité.
Cette potale a été construite après la première Guerre mondiale par une habitante du village qui souhaitait remercier Dieu d’avoir protégé sa famille pendant la guerre.
En mars 2020, le Corona virus fait le tour du monde. Tout le monde doit se confiner et rester à la maison. Ici, les travailleurs de la maison de repos ont fait preuve de beaucoup de courage… Ils ont décidé de se confiner avec les personnes âgées afin de continuer à veiller sur elles. Une belle preuve de solidarité !
Cette chapelle a été construite en l’honneur de Saint-Jacques, le saint protecteur des voyageurs. Cela tombe plutôt bien car le chemin sur la gauche conduit les voyageurs jusque Charleroi.
Cette chapelle présente une petite anomalie… Laquelle ?
La prairie votre gauche est un site naturel protégé. La haie qui la traverse est une haie d’aubépine. Ses branches épineuses ne sont pas appétissantes pour la vache, mais constituent un refuge idéal pour les oiseaux. De mai à juin, la haie se pare de belles fleurs roses et blanches !
Dans la rue de l’Escaille, se dresse une drôle de chapelle. Elle a été construite en 1873. L’architecte s’est inspiré de l’un de ses voyages en Russie, voilà pourquoi elle est tellement différente des chapelles habituelles !
Villers-Perwin a été habité par de nombreux seigneurs tout au long du Moyen-Âge. Le château tel qu’on le voit aujourd’hui a été bâti en 1760 par la famille de Renette-Misson. Les armoiries de la famille figurent au-dessus de l’entrée du château.
Quelques années plus tard, c’est la famille des Dumont de Chassart qui rachète le Château. Cette riche famille possède des usines qui produisent du sucre et de l’alcool. Presque tous les habitants de Villers-Perwin travaillent alors pour eux !
Les petites maisons autour du château étaient habitées par les domestiques. Sur la façade de la maison n°33, on peut y apercevoir Saint-Philomène. Beaucoup la considèrent comme la sainte patronne des domestiques et des gens de maison.