PLAN IGN
Tronçon 1 de la Boucle "Des profondeurs de la forêt aux paysages de plateaux" (98 Km)
Au départ de La Roche-en-Ardenne, la boucle grimpe directement sur les plateaux de l’Ardenne centrale en passant par les villages de Hives et de Lavaux. Après une incursion en forêt, le tracé débouche sur la commune de Tenneville avec ses paysages agricoles, son ancienne chaussée et ses nombreuses vues très lointaines. La randonnée passe ensuite à proximité du village de Tenneville puis rejoint celui de Laneuville-au-Bois à travers la forêt.
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PHOTOS AERIENNES / IGN
OPEN STREET MAP
Ancien moulin aujourd'hui rénové en hôtel-restaurant-taverne qui comprend également un musée de la meunerie expliquant la fabrication de la farine à l'époque.
Avec ses anciennes fermes et son église du 19ème siècle, le centre de Hives offre un patrimoine architectural remarquable dans un environnement verdoyant.
S’ensuit le petit hameau de Lavaux avec quelques fermes traditionnelles ainsi qu'un verger en quittant la localité.
Une petite faim ? N’hésitez pas à vous y arrêter.
Plaque inaugurée en 1948.
Blessé lors de la bataille de Valmy en 1792, il remonte la route à partir d'Arlon en passant notamment par Attert, Flamisoul et Belle Vue.
Le vieux chemin Namur-Luxembourg à hauteur du lieu-dit « Al Grande Creux ».
Nom donné en hommage à l'impératrice autrichienne qui vécut au 18ème siècle. Les plus anciens l'appelaient autrefois "Li vi paveïe", étant donné que ce chemin remonte à l'époque romaine.
Vue sur le village de Tenneville et le plateau ardennais.
Possibilité de se restaurer à proximité.
Le Sentier Didactique propose de découvrir toutes les facettes du bois et de la forêt au travers d’un parcours de 1km en plein air.
Le parcours du Bois de la Fontaine est jalonné d’une dizaine de haltes à thèmes: le temps qui passe, un paysage marqué par le temps, un cycle de vie, de jour comme de nuit, un espace d’activités humaines, etc.
L'origine du village est liée à l'installation de quelques charbonniers puisqu'il semble qu'une clairière y ait été investie comme lieu de travail afin de fournir en bois les forges environnantes. A partir de 1845, grâce à sa situation, l'artisanat du bois, notamment via la saboterie, s'y est développé. On dénombra jusqu'à 50 sabotiers dans la localité.
Le village présente également la particularité d'avoir un bâti typiquement ardennais relativement bien préservé (anciennes maisons chaulées avec quelques toitures en cherbins, présence de colombages sur certains pignons, etc.).
Ponctuant la traversée du village, de nombreuses croix et potales sont à découvrir.