PLAN IGN
Cette balade emprunte uniquement des routes asphaltées, qui de Erpent, sur les hauteurs de la rive droite de la Meuse, sillonnent les premiers contreforts du Condroz.
À une bonne dizaine de kilomètres avant l’arrivée, vous traverserez le village de Thon établi dans la vallée du Samson. Ce joli village, construit en pierre calcaire, est inscrit sur la liste des «Plus Beaux Villages de Wallonie». Profitez-en pour admirer l’église et le château-ferme édifié au 14ème siècle
Ce circuit suit un relief accidenté, avec des dénivelés parfois importants. Toute votre prudence est également requise afin de négocier quelques passages fortement fréquentés à certains moments de la journée.
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
OPEN STREET MAP
Située à Bonneville, un petit village plein de charme à 10 minutes de Namur, dans une ferme du 19è siècle récemment restaurée, la Cense de Jandren offre de multiples possibilités commerciales et récréatives. Bien entourés par des professionnels de l’événement, ils mettent tout en oeuvre pour la réussite de votre journée. Les anciennes écuries ont été aménagées en salle de réception pour vos dîners d’affaires et séminaires de 10 à 100 personnes. La Grange de 400m² permet la présentation de produits ou d’événements festifs.
La ferme de Dhuy compte parmi les plus anciennes bâtisses du village. Elle relevait initialement de l’abbaye de Cornelimunster et devint ensuite la propriété des comtes de Namur, de la branche des seigneurs de Dhuy et de Flostoy. Ce remarquable quadrilatère regroupe, autour d’une cour pavée, des bâtiments en brique et calcaire des 16ème et 18ème siècles.
La porte du logis est surmontée d’une pierre millésimée datée de 1587, portant les armoiries des familles de Namur et Rowier. À gauche du porche d’entrée, la muraille est ponctuée de tours, une ronde et deux carrées.
Juste avant la 2ème tour, vous remarquerez une porte basse datée à la clé, protégée par une très charmante petite bretèche (logette en saillie sur une façade, utilisée autrefois comme ouvrage de défense).
Information utile : il existe un projet de réaffectation de cette ferme, les permis d’urbanisme ont été accordés par la Commune, les travaux débuteront en 2019/2020.
Cet ensemble en « L », précédé dun parc, se trouve face à léglise. Bâti en plusieurs fois, en moellons calcaires de différentes époques, le bâtiment forme un carré flanqué de trois tours carrées dont lune date de 1538. La belle façade de style traditionnel mosan nous invite à découvrir une subtile alliance de briques rouges et de cordons horizontaux de pierres calcaires. La construction de laile principale (au nord, du côté de léglise) a été entreprise au début du 17 e siècle par Jacques Zuallart, Seigneur de Sclayn et de Bonneville. En 1690, son fils Tilman Zuallart, complètement ruiné par la poursuite de la construction du château, est obligé den céder la propriété à son créancier principal le Chevalier Jean-Hubert de Tignee. Depuis lors, le château de Bonneville sest transmis par voie de succession pendant dix générations jusquà son descendant direct et propriétaire actuel, le Chevalier Baudouin de Theux. Un jardin dinspiration classique française du 18 e siècle quasi inchangé depuis sa création sétend sur un hectare et demi environ, au nord et à louest du bâtiment.
Cette jolie ferme compte parmi les plus anciennes bâtisses du village. Elle relevait initialement de labbaye de Cornelimunster et devient ensuite la propriété des comtes de Namur, de la branche des seigneurs de Dhuy et de Flostoy.Ce remarquable quadrilatère regroupe, autour dune cour pavée, des bâtiments en briques et calcaires du 16e et 18e siècle. La porte du logis est surmontée dune superbe pierre armoriée datée de 1587, portant les armoiries des familles de Namur et Rowier.Il ne faut pas manquer dadmirer entre le porche dentrée et lextrémité du logis une ravissante porte chaînée en anse de panier datée de 1622, que protège une «bretêche » sur console en quart de rond.
Cet ensemble est principalement daté du 17ème siècle et forme un L encadré de trois tours d’angle.
À l’ouest, un long bâtiment du 19ème siècle a remplacé les édifices anciens et donne sur une ferme contemporaine.
À l’est, l’aile comprenant le portail d’entrée constitue sans doute le point de départ de la construction du complexe. Il s’agirait de l’ancienne Cense de Jandrenne déjà citée au 14ème siècle.
La propriété est acquise en 1617 par Jacques de Zualart, personnage fortuné et bourgmestre de Namur.
Devenu seigneur de Sclayn-Bonneville, il en fait un château harmonieux doté d’une façade de style Renaissance mosane caractérisée par l’alternance de briques et de cordons de pierres calcaires.
Tilmant de Zualart, fils de Jacques, se ruine lors de la poursuite de ces travaux et c’est son créancier principal, le chevalier Jean-Hubert de Tignée, qui devient vers 1690 le nouveau propriétaire et seigneur de Bonneville.
Depuis 10 générations, le château de Bonneville n’a plus été vendu, il appartient encore aujourd’hui à son descendant direct, le chevalier Baudouin de Theux et à son épouse.
Info : La Cense de Jandren, attenante au château de Bonneville, a fait l’objet d’un vaste chantier de restauration et de réaffectation il y a quelques années. Elle est toujours en exploitation et accueille maintenant réceptions et événements.
Saint-Firmin est invoqué contre les rhumatismes et autres fourmillements. Entourée de son ancien cimetière, léglise date en partie du 11 e siècle (la tour et la partie avant de la nef). Elle présente en effet toutes les caractéristiques des nombreuses églises de la région construites dans la mouvance de labbaye de Cornelimunster telles que celles de Sclayn, Strud, Seilles, Wierde, etc. Elevée en moellons rugueux dun calcaire local auxquels se mêlent des grés ferrugineux dune belle couleur rouille, léglise a, au cours des siècles, subi de nombreuses transformations qui lui donnent cet aspect élégant quon lui accorde aujourdhui. Elle a été agrandie en 1866 à lest par deux travées de même style et un chur à trois plans du 18 e siècle probablement démonté et reconstruit. Elle forme un ensemble harmonieux de style roman. A lorigine la tour trapue avait une vocation défensive. On peut encore le deviner en observant les ouvertures prévues dans ses murs épais doù lon pouvait tirer des flèches ou autres projectiles envers déventuels assaillants.Cette église fait partie du réseau des Églises Ouvertes, consulter la page qui lui est consacrée !
Élevée en moellons de calcaire mêlés de grès, l’église Saint-Firmin est une église d’inspiration romane qui a subi de nombreuses modifications. L’édifice a connu une transformation majeure au 19ème siècle, lorsque deux travées sont ajoutées à la nef et que le chœur est reculé d’autant.
Les origines de cette église sont relativement obscures. Il s’agissait probablement, au départ, d’une simple chapelle dépendant de la paroisse de Sclayn et dédiée à Saint Jean-Baptiste. Ce n’est qu’au 19ème siècle que la titulature à Saint Firmin devient officielle.
La tour de Saint-Firmin culmine à 15,10m ; elle est percée de meurtrières et d’ouïes et ses murs sont talutés. Par sa forme et ses fonctions, elle est assez semblable aux tours de Seilles et Sclayn.
L’intérieur de l’église a subi des transformations qui ont considérablement modifié la perception des espaces. Les arcades en plein cintre qui structuraient la nef romane ont été remplacées au 19ème siècle par des colonnes. Les collatéraux ont été fortement remaniés au 18ème siècle. Il est probable que l’église romane ait eu un chœur à chevet plat et qu’il ait été ensuite démonté et partiellement reconstruit au 19ème siècle. Lors du remontage du chœur, les baies romanes sont reproduites à l’identique en remployant quelques pierres plus anciennes.
En ce qui concerne les aménagements liturgiques, 3 autels néoclassiques et une chaire de vérité du 19ème siècle sont installés dans la nef lorsque celle-ci est agrandie. Notons que cette chaire remployait des panneaux sculptés en bois du 18ème siècle présentant la Vierge, Saint Jean-Baptiste et le Christ. Ces panneaux sont actuellement réinsérés dans l’autel contemporain (1963).
Au 20ème siècle, une nouvelle campagne de transformation débute : le tracé originel des arcades romanes leur est rendu, l’autel est avancé face aux fidèles, un Christ en plâtre est suspendu dans le chœur, des fonts baptismaux en pierre bleue sont réalisés par Jean Willame, la polychromie de certaines statues est refaite, tandis que les verrières sont remises en plomb et que les fenêtres du chœur reçoivent les œuvres de Louis-Marie Londot, peintre namurois réputé.
Le saviez-vous?
Une dalle funéraire de style renaissance se trouve dans le collatéral sud. Elle appartient à Jean de Namur, propriétaire de la cense de Dhuy, fils illégitime du comte de Namur, mort en 1569.
Saint-Firmin est membre du réseau Églises Ouvertes, l’édifice est donc ouvert du 15 juin au 15 septembre tous les dimanches de 10h à 12h et de 14h à 18h. Merci de ne pas perturber les offices religieux lors de vos visites.
Offices religieux :
mercredi : 18h30
dimanche : 11h00
À Bonneville, au coin de la Rue des Cailloux, se trouve une potale dédiée à la Vierge Noire. Elle est placée sur une plateforme moderne en pierre bleue. Cette potale se compose d’un imposant pilastre surmonté d’une niche triangulaire. Sous la niche, vous pourrez observer une pierre gravée portant la mention « Je vous salue, Marie, pleine de grâce, 1730 ».
La ferme connue sous le nom « La Commanderie » forme un ensemble semi-clôturé en moellons de calcaire, planté en plein coeur du village. Lordre de Malte possédait une ferme à Bonneville mentionnée pour la première fois en 1466, la seconde fois en 1503 lorsquelle fut rattachée à la commanderie de Villers-le-Temple (doù le nom de la ferme).Des travaux, soit de construction, soit de rénovation, ont été réalisés en 1613 comme latteste la date gravée dans la clé au dessus de lentrée du corps de logis.
Cette jolie petite chapelle a été construite en brique blanchie et en pierre bleue. Elle est munie d’une large porte en plein cintre datée à la clé et portant la mention « cette chapel / le a été bâtie / L’an 1849 / par M. Collard / en l’honne / ur de la Ste / Vierge ». Juste au-dessus de la clé du portail, vous remarquerez une plaque en pierre où est gravée la phrase : « La paroisse de Bonneville a été consacrée à la sainte Vierge le 5 septembre 1943 ».
Ce petit édifice a fait l’objet de deux restaurations importantes dans les années 80. À cette époque, l’ancien autel en bois a été remplacé par un autel en pierre bleue, réalisé par Amand Detienne, tandis que la porte en bois vitrée est remplacée par une porte en aluminium, réalisée cette fois par Arylle Detienne. Il semblerait que la famille Detienne ait d’ailleurs longtemps été chargée de l’entretien de cette charmante chapelle.
Le château sest développé aux 16ème et 17ème siècles à partir dun donjon médiéval et est lancien siège dune seigneurie citée depuis le 14ème siècle. A langle des deux logis se dresse une tourelle descalier carrée percée arquebusiers. Au sud du château se déploie une ferme du 17ème siècle, rénovée et agrandie deux siècles plus tard.
Le château-ferme de Thon-Samson compte parmi les monuments les plus exceptionnels du village. On parle de « château-ferme » puisqu’il s’agit en réalité d’un vaste quadrilatère clôturé composé d’un corps de logis seigneurial et d’une ferme attenante.
Les premières mentions de la seigneurie de Thon remontent au 14ème siècle. Au donjon médiéval se rajoute par la suite un corps de logis à deux étages des 16ème et 17ème siècles. La partie « château » est située à la droite du porche d’entrée de la cour.
Le reste des bâtiments de cet ensemble est occupé par une grande ferme construite au 17ème siècle puis rénovée et agrandie au 19ème siècle. Juste à côté du corps de logis, se trouve une petite porte basse qui donnait accès à l’ancien fournil (lieu de travail du boulanger où l’on pétrit la pâte et où l’on cuit le pain). Le bâtiment est prolongé sur la droite par une longue aile d’étables et sur la gauche par une aile plus courte. Vous remarquerez aussi la présence d’une charmante petite tour carrée à l’angle du mur d’enceinte.
Cet édifice, situé à Thon, de style classique daté de 1780 porte une sobre décoration où lon remarque des pilastres ponctués de pommes de pin et de motifs floraux. La nef, agrandie en 1892, se termine par un chur semi-circulaire que prolonge une haute tour de calcaire et de brique couverte dun pavillon en cloche.
L’église Saint-Remi de Thon-Samson présente un style néoclassique relativement simple. Sa façade, réalisée en belles pierres appareillées et martelées, est mise en relief par le travail de sculpture autour de la porte et de la fenêtre. Le relief ainsi créé sert à magnifier l’entrée de l’église et crée l’illusion d’un faux portail.
En haut de la façade, vous apercevez un grand Christ en pierre dont les origines sont obscures ainsi qu’un millésime qui date l’église de 1780.
La nef de quatre travées est imbriquée entre le choeur et une tour à l’Est. Cette dernière, construite en calcaire et en brique, est surmontée d’un pavillon en cloche, d’une croix et d’une flèche qui donnent tout son caractère à cette église villageoise.
L’église Saint-Remi est jouxtée par un petit cimetière.
Le saviez-vous ?
L’église actuelle a été construite dans des circonstances particulières. En effet, à cet emplacement se trouvait une église ancienne dont l’état de délabrement est consigné (en français ancien) dans un procès-verbal de 1779 : « les murrailles étant toutes prette à tomber et les cherpente, étant presque tous pouris et consumés au point que l’on risque d’y être écrasé ». Il est donc décidé de reconstruire une nouvelle église en 1780. C’est le Baron de Rahier, Seigneur de Thon, accompagné de quelques notables et du curé, qui financent le projet. Les habitants, pour leur part, s’engagent à participer bénévolement aux travaux.
A deux sur ressort Bancs Galaxy Dorado La Citadelle Moto sur ressort Point de rencontre Poubelles Spica vert
A deux sur ressort
Bancs
Galaxy Dorado
La Citadelle
Moto sur ressort
Point de rencontre
Poubelles
Spica vert
Le site fortifié du Samson dont on ne voit plus que des ruines aurait donné son nom au village. Ce site de défense, idéalement situé sur un promontoire surplombant la route de Gramptinne, fut notamment occupé par les Romains ; Jules César y aurait établit un camp retranché. Des fouilles ont également révélé lexistence de tombes, de pièces de monnaie ainsi que dobjets datant de loccupation du site par les Francs et les Mérovingiens.La forteresse de Samson était divisée en trois enceintes : un terrain rocailleux, une basse cour et des communs ainsi quau delà dun pont-levis, lhabitation du châtelain et son donjon. Les habitants du village étaient exempts de taxes en contrepartie dun tour de garde de la forteresse. Celle-ci fût assiégée en vain par les Normands au 9 e siècle. Le dernier siège du château eut lieu au 16 e siècle, du temps de Don Juan dAutriche. Le château fut finalement démoli sur ordre du Roi Charles II dEspagne en 1690.
La chapelle Saint-Roch de Thon-Samson présente un aspect charmant. C’est un petit édifice en calcaire dont l’architecture est relativement simple : plan carré, courte nef et chœur à trois pans. L’édifice possède une façade en belles pierres appareillées. On y reconnaît les éléments typiques de l’architecture néo-classique comme les pilastres et le fronton triangulaire. Sur le fronton de la façade se trouve une petite niche cintrée qui abrite une statuette de Saint Roch. Si vous regardez bien, vous apercevez au-dessus de la porte une pierre datée de 1849. Il s’agit probablement de la date d’édification du monument.
Afin qu’il soit reconnaissable, Saint Roch est représenté avec des « attributs » qui rappellent sa vie. Il porte traditionnellement un bourdon (bâton de pèlerin), une coquille Saint-Jacques cousue à ses habits, une besace, un chapeau et une cape de pèlerin. Il est souvent accompagné d’un ange tenant une banderole sur laquelle on lit : « Eris in peste palronut » (Tu seras un intercesseur contre la peste) et/ou d’un chien portant un pain dans sa gueule. Il relève un pan de sa cape pour faire voir le bubon pesteux de sa jambe.
La Vallée du Samson Le village de Thon-Samson, perché en partie sur les hauteurs, est campé dans le décor verdoyant des prés et des taillis de la vallée du Samson.Le village est parcouru déléments du patrimoine, modestes ou prestigieux, qui par leurs valeurs architecturales, urbanistiques, touristiques ou affectives lui confèrent un supplément dâme.Le coeur du hameau, en pierre calcaire, a totalement conservé son charme dantan. Au gré des rues sinueuses qui le parcourent, ce village de près de 800 âmes, dévoile en effet un patrimoine architectural intact et parfaitement complété par les richesses naturelles du Samson. Léglise Saint-Remi (1780) Les rochers, de plus de 100 mètres de haut, offrent un magnifique panorama et constituent une formidable muraille calcaire.Classé depuis 1944, cet éperon rocheux est surmonté par les ruines de lancien château fort.De larges étendues agricoles situées sur les hauteurs du village proposent également un magnifique point de vue sur les superbes paysages des vallées. les Rochers de Samson.Énorme masse rocheuse percée de cavernes qui surplombe le fleuve de 80 mètres. Les Romains y auraient établi un camp retranché au 4e siècle.Quoiquil en soit, au Moyen Age, une puissante forteresse construite par le comte de Namur, surveillait de sa hauteur, la vallée de la Meuse de Marche-les-Dames à Sclayn.
Situé à plus de 30m au-dessus du niveau de la Meuse, l’emplacement de la Forteresse du Samson n’a pas été choisi au hasard. Naturellement protégé sur deux côtés, par les cours d’eau et l’escarpement des roches, le site forme un triangle dont seule la base doit être défendue. C’est ce que l’on appelle un éperon barré. La forteresse comportait trois enceintes: la première à laquelle on accédait par le haut du village de Thon, la deuxième qui abritait la basse-cour et la troisième qui entourait l’habitation du châtelain et les communs, et qui était munie de tours de défense. Des anciennes tours, il ne reste plus que la tour Lapidon presque intacte. Construite à flanc de coteau, elle surplombe aujourd’hui la chaussée de Gramptinne.
Nombreuses sont les légendes qui entourent la forteresse, parmi les plus célèbres : celle de la Chèvre d’Or. Les profondeurs du château-fort auraient abrité une Chèvre d’Or, démon bien connu du folklore wallon, auquel un merveilleux trésor aurait été confié. Mais pendant la nuit de Noël, la fameuse Chèvre perdrait ses pouvoirs et s’animerait, elle sortirait alors de sa cachette et gambaderait à travers les ruines du château laissant le trésor sans surveillance…
Information importante : Les ruines du château ne sont pas accessibles, les chemins qui y mènent sont d’ailleurs fermés au public. Il est très dangereux de s’y rendre !
Grand bâtiment tout en pierre qui trône au milieu de la place du village. Léglise est de style néogothique, elle est très éclairée avec un plafond de briques rouges. Les autels et lancienne chaire de vérité sont en marbre. Léglise reconstruite en 1850 près du cimetière fut incendiée par larmée allemande en 1914 et rebâtie sur un nouvel emplacement en 1927.
Coq farceur Galopeur 1 poubelle 1 table avec bancs Toboggan avec tour
Saint-Martin de Maizeret a une histoire particulière puisque l’actuelle église a été précédée par deux autres ; une église primitive qui était située à l’emplacement de l’actuel cimetière et une seconde église qui aurait été reconstruite aux alentours de 1850 et détruite pendant la Seconde Guerre mondiale.
De ces deux contructions, il ne reste plus rien aujourd’hui. L’église Saint-Martin actuelle est édifiée sur la place de Maizeret en 1925. Elle présente un style néogothique.
Le saviez-vous ?
La titulature à Saint-Martin de l’église maizeretoise remonte à 1850. Elle est dûe à une légende locale qui raconte que Saint-Martin se serait arrêté dans le village au 4ème siècle pour y abreuver sa monture à la petite fontaine qui borde la rue de Villenval. Cette fontaine porte depuis lors le nom de « bac Saint-Martin ».
Coq farceur
Galopeur
1 table avec bancs
Toboggan avec tour