PLAN IGN
Itinéraire de 50 km en boucle, relativement sportif, qui vous mènera à la découverte des 12 villages de l'entité de Bièvre. Ce parcours est agrémenté de quelques dénivelés, à travers des paysages verdoyants et des villages typiques. A vos marques... Partez !
Votre balade débute à l'ancien pavillon de chasse de Bièvre, actuellement Maison communale. Vous vous évaderez pendant 4h dans une nature préservée regorgeant de magnifiques panoramas. Sur le chemin, vous découvrirez quelques lavoirs anciens, des églises remarquables, le village de Bellefontaine, où - raconte-t-on - saint Furcy fit jaillir une source au 7ème siècle... N'hésitez pas à faire une petite halte sous les deux tilleuls centenaires de la chapelle Notre-Dame du Bon Secours à Oizy avant de terminer votre périple à travers vallées et forêts !
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PHOTOS AERIENNES / IGN
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Le pavillon Saint-Hubert et ses dépendances. Fin du 19ème siècle, Bièvre était un haut lieu de la chasse, fréquenté par la noblesse belge et étrangère. L’ancien pavillon et ses dépendances accueillent aujourd’hui l’administration communale, le centre culturel et le syndicat d’initiative.
Bellefontaine est connu dans toute la région pour la qualité de l’eau de la source Saint Furcy (patrimoine classé depuis 1990). C’est le patron de l’Eglise.
Suivant la tradition, Saint Furcy, lors de son passage dans la Gaule, vers l’an 650, aurait fait jaillir une source dite « Fontaine Saint Furcy ». Le village se construisit autour de la source et de la croix que Saint Furcy avait plantée lui-même, puis plus tard, autour de l’église qui la remplaça et fut construite par ordre de Godefroid de Bouillon en l’honneur du Saint (1090).
Selon la légende, saint Furcy fit jaillir une source à cet endroit au 7ème siècle. Après quelques jours, une femme souffrant d’eczéma y plongea sa main et fut guérie. Le monument en granit sculpté est composé de 4 colonnes et surmonté de la statue du saint.
La source Saint Furcy est surmontée d’un beau monument en granit, taillé dans le roc. Il s’agit de la grotte Notre-Dame bénie par Monsieu Heylen, évêque de Namur, le 20 septembre 1923. On y accède par un joli point de vue sur la vallée du ruisseau de Ténépont.
Selon la légende, saint Furcy fit jaillir une source à cet endroit au 7ème siècle. Après quelques jours, une femme souffrant d’eczéma y plongea sa main et fut guérie. Le monument en granit sculpté est composé de 4 colonnes et surmonté de la statue du saint.
La source Saint Furcy est surmontée d’un beau monument en granit, taillé dans le roc. Il s’agit de la grotte Notre-Dame bénie par Monsieu Heylen, évêque de Namur, le 20 septembre 1923. On y accède par un joli point de vue sur la vallée du ruisseau de Ténépont.
A droite de la porte d’entrée est scellée une coquille de Saint-Jacques en bronze, indiquant le chemin vers Compostelle. Une statue en bois du saint, disparue lors de l’offensive allemande en 1914, fut retrouvée dans le jardin de la cure au lendemain de la seconde guerre mondiale. Un miracle !
A droite de la porte d’entrée est scellée une coquille de Saint-Jacques en bronze, indiquant le chemin vers Compostelle. Une statue en bois du saint, disparue lors de l’offensive allemande en 1914, fut retrouvée dans le jardin de la cure au lendemain de la seconde guerre mondiale. Un miracle !
Nichée sur une butte, l’église Saint-Hubert qui date du 17ème siècle est classée et recèle à l’intérieur un patrimoine intéressant : maître-autel de style corinthien datant de 1703, voûte avec ses riches moulures et chaire de vérité datant de 1768.
Nichée sur une butte, l’église Saint-Hubert qui date du 17ème siècle est classée et recèle à l’intérieur un patrimoine intéressant : maître-autel de style corinthien datant de 1703, voûte avec ses riches moulures et chaire de vérité datant de 1768.
Dédiée à la Vierge Marie après l’incendie du village par les armées de Louis XIV, on raconte qu’au temps de la Révolution française, des triplés revinrent à la vie après avoir été amenés dans la chapelle. Deux tilleuls centenaires protègent ce petit oratoire classé.
Dédiée à la Vierge Marie après l’incendie du village par les armées de Louis XIV, on raconte qu’au temps de la Révolution française, des triplés revinrent à la vie après avoir été amenés dans la chapelle. Deux tilleuls centenaires protègent ce petit oratoire classé.
Erigée en 1946 en guise de remerciement à la Vierge Marie pour avoir épargné le village durant la guerre 40-45, la chapelle tire son nom « scaïre » des faisceaux de schiste utilisés autrefois dans la réalisation des toitures.
Riche en petit patrimoine, le village de Gros-Fays est constitué de maisons en pierres avec toit de schiste. Les colombages sont rares et les toits en faisiaux ont été remplacés par de l’ardoise. Il est situé dans un écrin naturel remarquable. On peut y admirer notamment son église, son château-ferme, son moulin mais également ses aménagements intérieurs. Le relief y est accentué et propose des vues admirables sur la vallée de la Semois et ses forêts.
Vers 1900, la culture du tabac venant de la Semois donna un supplément de revenus à certains agriculteurs. L’agriculture et l’élevage étaient l’occupation vitale. Jusque 1960, les habitants auraient pu vivre uniquement avec leur production. La forêt procurait le bois de chauffage et de construction.
Suite à la modernisation, la plupart de ces activités se terminèrent et les habitants durent se débrouiller autrement comme partout ailleurs.
Village à vocation agricole, le village fut abandonné de 1635 à 1661, suite à la peste. Baillamont est de nos jours un authentique bourg, coquet et paisible où le lavoir, en pierres du pays et coiffé d’un toit d’ardoises, témoigne de l’activité des lavandières au temps jadis.
Classée, cette tour massive aurait été construite par le Roi Pépin comme tour de guet et relais de chasse en 837. De forme pyramidale et bardée de grosses barres de fer, elle ne possède que quelques fenêtres étroites qui rappellent les meurtrières des châteaux forts.
Exposition sur la fabrication de sorcières artisanales personnalisées.
Village à vocation agricole, le village fut abandonné de 1635 à 1661, suite à la peste. Baillamont est de nos jours un authentique bourg, coquet et paisible où le lavoir, en pierres du pays et coiffé d’un toit d’ardoises, témoigne de l’activité des lavandières au temps jadis.
Classée, cette tour massive aurait été construite par le Roi Pépin comme tour de guet et relais de chasse en 837. De forme pyramidale et bardée de grosses barres de fer, elle ne possède que quelques fenêtres étroites qui rappellent les meurtrières des châteaux forts.
Fin du 19ème siècle, Bièvre était un haut lieu de la chasse, fréquenté par la noblesse belge et étrangère. L’ancien pavillon et ses dépendances accueillent aujourd’hui l’administration communale, le centre culturel, la bibliothèque communale et l'office de tourisme.
Venez découvrir le monde des rapaces au Jardin des Hiboux à Graide !
Possibilité de découvrir des terrains de vol en vol libre, 3 spectacles par jour où vous pourrez faire voler ces oiseaux vous-mêmes !
Possibilité également de découvrir l'apiculture professionnelle via une visite guidée qui vous expliquera tout sur la fabrication du miel, de la fleur à la dégustation !