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Partez à la découverte de la légende du Pont Troué. En des temps reculés, plusieurs habitants de Sars-la-Bruyère auraient été confrontées à une mystérieuse force invisible sur un pont du village. Ce pont a aujourd'hui disparu mais le mystère reste entier.
Cette promenade ponctuée de nombreux points de vue vous permettra également de découvrir des paysages ruraux variés. Elle vous vous mènera notamment jusqu’au Château La Roche situé à Sars-la-Bruyère, à proximité duquel vous emprunterez une jolie allée bordée de platanes.
Ce circuit a été réalisé par la Commune de Frameries et le Parc Naturel des Hauts-Pays.
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PHOTOS AERIENNES / IGN
OPEN STREET MAP
Le 4 mai 1919, la Louvière, à l'occasion de la première séance plénière de la Commission des Loisirs de l'Ouvrier instituée par la Députation Permanente du Hainaut, Louis Piérard, fraîchement élu Député, insista sur la nécessité de créer pour l'ouvrier un foyer agréable et ajouta "qu'il faut ambitionner et donner à chaque cité une maison communale vraiment confortable et attrayante, dotée de bibliothèques, salles de jeux, etc...
En 1929, il fit voter la loi instituant l’Oeuvre Nationale de l'Education Populaire en vue de l'utilisation des loisirs et devint également président du Conseil Supérieur de l'Education populaire et de l'Office National des Loisirs du travailleur.
Louis Piérard meurt en 1951 mais Frameries a maintenu au coeur de la cité l'héritage de l'éducation populaire prônée notamment par Louis Piérard : conférences d'éducation populaire, bibliothèque publique, expositions artistiques, récitals musicaux, chant choral, cercles d'études et de débats, représentations dramatiques, toutes les voies susceptibles de conduire les hommes vers plus de connaissances, par la démocratie culturelle et par la démocratisation de la culture.
C'est ainsi que, dans la foulée du décret de la Communauté française de 1992 instituant les centres culturels, Frameries s'est doté d'un véritable centre culturel en 1999, s'installant dans les locaux de la Maison de la Mémoire et la Création, sur la Place d'Eugies.
C'est à cet endroit que se trouve toujours son siège social actuel et qu'il y propose, en son espace Arthur Robbe, un panel très large d'activités musicales, théâtrales, ou encore d'expositions ou d'ateliers participatifs.
Ne vous y trompez pas, personne n'a jamais joué au "BlackJack" ou à la roulette ici.
Le mot d'origine italienne, « casino » signifie littéralement « petite maison », ne se réfère pas au lieu où sont pratiqués des jeux d'argent et de hasard.
Pendant longtemps, il désignait les « salles des fêtes » et « salles de spectacles ».
Des brasseurs achetaient des maisons et les transformaient en cafés. Ceux-ci étaient très nombreux dans les campagnes et villages, invitant les promeneurs à y faire une halte pour s'y désaltérer.
En 1707, Vincent de la Roche, avocat à Mons au conseil souverain du Hainaut reçut une partie du domaine de la Haye dont il acquit plus tard l'entièreté.
Un de ses descendants devint Chevalier par lettres patentes du Roi Léopold Ier en 1847.
Eudolie de la Roche épouse Edmond de Knyff de Gontreuil, leur fille devint l'héritière du domaine.
Elle avait épousé le Comte Léon d'Hendecourt (1843-1889), grand-père du Comte Edwars d'Hendecourt de Pont de l'Arche.
Le château et le parc forment un ensemble d'une beauté paisible.
Vous arpentez actuellement une superbe drève bordée de platanes.
Ce donjon carré du XIème siècle, unique en Wallonie, est classé parmi les monuments et sites depuis le 27 septembre 1972.
Véritable porte d'accès au Parc naturel des Hauts-Pays, le donjon a été rénové.
La fameuse "Poterie de Sars-La-Bruyère" y a été installée et a fabriqué pendant longtemps un pur produit artisanal local.
Entouré de douves, et construit en moellons, il fut établi par les « de Sars » au XIIème siècle et restauré par les « d’Harchies » au XVIème siècle, comme l’atteste la partie supérieure qui est en brique, et la voûte à quatre pans de l’étage auquel on accède par un escalier ménagé par les murailles.
Du haut du donjon, Marlborough (Malbrough en français) dirigea la bataille de Malplaquet du 11 septembre 1709.
Son illustre descendant, Winston Churchill se rendit au même endroit deux siècles plus tard.
La Chanoine Puissant de Mons s’y retira au cours de la Première Guerre mondiale et y fit de la poterie entourée de jeunes artistes montois.
source : www.frameries.be
Classée en 1953, l’église comporte une seule nef avec transept servant de chapelles de la Vierge et de Saint Jean-Baptiste, un chœur à pans coupés et un clocheton en façade.
L’édifice, dont l’existence est déjà attestée à la fin du XIIIe siècle, fut partiellement détruit en 1709 et reconstruit dans le style classique en 1713—1715 (selon la date en briques de la façade et le chronogramme du chœur).
Le chœur a conservé des fenêtres gothiques tandis que dans le soubassement de la façade et de la nef, on a conservé et remployé d’anciens moellons de grès. Le transept nord, de style gothique, remonterait au XVIIe siècle, le transept sud au XVIIIème siècle.
Au sud du chœur, se dresse un pavillon (autrefois chapelle seigneuriale) servant actuellement de sacristie : malgré son rétablissement au XIXe siècle, il conserve des éléments du XVIIème siècle.
La paroisse, qui dépendait autrefois du décanat de Mons, était à la collation de l’ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem ou de Malte, droit exercé par la commanderie de Piéton.
La commune a été rattachée à Frameries.
Source : frameries-quevy.doyenne-paturages.be
Produits de la ferme et du terroir.
Point Kiala.
Point Lotto.
Tél : 065/51.07.64
La ferme haras du Moulin a été construite au milieu du 20ème siècle.
Le corps de ferme est distribué autour d'une cour centrale, il est prolongé par plusieurs écuries.
À quelques pas sur le côté de la ferme haras se tient une chapelle datée de 1899 et dédicacée à Notre-Dame de Lourdes.
Jusqu'en 1830, un moulin à vent se trouvait à proximité de ce site.