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Belle promenade nature (principalement des bois, champs et prairies). Ne cherchez pas Archambelle sur votre GPS. Il s'agit du nom donné au village d'Archennes dans le roman "Le Cri du Hibou" de France Bastia, écrivain ayant vécu longtemps dans ce joli village du brabant wallon, dont elle s'est inspirée pour les principaux lieux de l'histoire. L'histoire d'un jeune garçon, scolarisé dans l'école du maître du village, qui découvre un hibou crucifié à la porte d'une ferme, et va tout risquer pour le délivrer, le cacher dans le clocher de l'église, et le sauver au péril de sa propre vie. On découvrira sur le trajet l'ancienne école communale, la ferme et le clocher de l'église.
Départ : Rue des Moulins 6, 1390 Grez-Doiceau (stationnement facile)
Coordonnées GPS : 50.751630, 4.671223
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PHOTOS AERIENNES / IGN
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Il s'agissait jadis de l'école communale, au rez-de-chaussée, mais également de la commune d'Archennes, et même le bureau du garde-champêtre. C'est ici que s'ouvre le premier chapitre du Cri du Hibou. Un banc permet d'admirer l'église en contrebas.
La grande maison juste derrière l'ancienne école communale.
Baptisée ferme de Sartage dans le roman, c'est ici que Fabrice découvrira le hibou crucifié sur l'une des deux portes. Il semblerait qu'il s'agit d'une ancienne pratique, déjà peinte en 1852 (estampe Le Haut d'un battant de porte, de Félix Bracquemond).
C'est ici qu'elle écrira le Cri du Hibou, au début des années 70 (première édition en 1975).
C'est dans ce clocher d'Archambelle que le Cri du Hibou nous fera vivre les plus beaux passages du roman.