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Avec ses 168 km, la Chevauchée forestière est la randonnée idéale pour une véritable immersion de plusieurs jours au cœur de la Grande Forêt de Saint-Hubert. Elle vous permet d’en apprécier toute la diversité et d’en découvrir les multiples facettes, depuis les contreforts de la plaine famennoise jusqu’aux hauts plateaux de Saint-Hubert en passant par de nombreuses vallées forestières parcourues de ruisseaux et rivières sauvages. Versants boisés, vastes massifs résineux et feuillus, paysages de landes et de fagnes, sites naturels majeurs et superbes points de vue se laisseront découvrir au fil de votre séjour.
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PHOTOS AERIENNES / IGN
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Haut lieu de pèlerinage, la chapelle actuelle date de 1733. Le grand autel en bois peint (style Louis XIV) est superbe. À coté de cet édifice se trouve une source miraculeuse pour les maladies des yeux. Selon une légende, les habitants de Bras auraient découvert une statue de la Vierge dans le creux d’un chêne se trouvant près de la source. La madone fut aussitôt déposée dans l’église paroissiale. Mais dès le lendemain, elle avait regagné son arbre, montrant de la sorte son désir d’être honorée à cet endroit. Le chêne étant vétuste, une chapelle fut érigée pour abriter la statue…La chapelle est ouverte tous les dimanches d’avril à octobre.Pour découvrir l'édifice avec une visite virtuelle en 3 D: www.discovr360.com/libramont/cdlh.html
Des bois à perte de vue, une nature préservée, des sentiers balisés, une pisciculture, la Lomme… autant d’invitations à venir se ressourcer, se promener ou se détendre au Domaine provincial de Mirwart.A deux pas du village du même nom, cet écrin de verdure, niché au creux d’une vallée escarpée, mérite le détour. De nombreux étangs y abritent un élevage de truites fario, l’espèce indigène destinée à l’empoissonnement des rivières de la région. Ces étangs sont disséminés au cœur de la forêt sauvegardée où les randonneurs attentifs découvriront la richesse de la flore ou relèveront des traces de gibier. A moins qu’ils ne croisent l’un des nombreux vestiges du passé de Mirwart, tels le haut-fourneau de Marsolle, témoin de la période préindustrielle, ou la glacière du 19e siècle, creusée à flanc de coteau et aujourd’hui dédiées à l’hibernation des chauves-souris.Un rucher didactique, aménagé pour permettre de découvrir le monde des abeilles, vise à la préservation de l’abeille noire dite « noire du pays ».Le Domaine propose – uniquement sur réservation – des visites de la pisciculture.Pour prolonger le plaisir de la visite, plusieurs aires de pique-nique et de barbecue ont été aménagées dans le Domaine.
Mirwart est un petit village pittoresque dont la rue principale mène jusqu’au château, aujourd'hui rénové, dont la chronique de l’abbaye de Saint-Hubert situe la fondation en 955.Ce village est un de ces lieux que le temps semble avoir épargné, où les fermettes ont su conserver leurs caractéristiques ancestrales (colombages, vieilles pierres et vieilles briques…). Près de l’église, vous pouvez apercevoir la statue réalisée par Louis Noël. Cette statue est érigée en hommage à l’emblème locale « Le semeur », dont une bière artisanale ambrée porte également le nom. Le village de Mirwart est véritablement lové dans un écrin de verdure, surplombant le Domaine provincial de Mirwart. Des bois à perte de vue, une nature préservée, des sentiers balisés, une pisciculture, la Lomme... autant d’invitations à venir seul, en famille ou entre amis pour se promener ou se détendre.
Cette aire de pique-nique de 20 places assises est couverte et idéalement située au cœur de la forêt du Domaine provincial de Mirwart.Si vous désirez en profiter pour le pique-nique, il n'y a pas besoin de réserver.Toutefois, si vous cherchez à profiter de l’aire du Biolin pour le bivouac, il est indispensable de réserver au préalable sur le site www.rando-lesse-lomme.bea noter qu'il n'est pas possible d'y faire un barbecue et que les feux sont interdits.
La Chapelle Notre-Dame de Walcourt (1750) et ses tilleulsEn venant de Redu, juste avant d’arriver à Lesse, petit chemin sur la gauche.Encadrée de deux tilleuls vénérables, cette chapelle, dominant le hameau de Lesse, date de 1750. Placée sur la protection de N.-D. de Walcourt, elle fur, paraît-il, le théâtre de quelques faits miraculeux. Un pèlerinage à Saint Monon – qui y possède une statue – s’y est maintenu longtemps pour la protection du bétail et particulièrement des cochons.