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Cet itinéraire proposé par la Maison du Tourisme de la Basse-Meuse vous emmène à Visé. Cette balade tranquille et agréable vous fera visiter des recoins de Visé riches en patrimoine et en beauté de paysage !
Cette balade dure aux environs d'1 heure et demie et fait +/- 3km. Elle est à effectuer dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
Promenade appartenant au box de 12 cartes de balades "A la découverte de la capitale de la Basse-Meuse", en vente à la Maison du Tourisme de la Basse-Meuse au prix de 5€.
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PHOTOS AERIENNES / IGN
OPEN STREET MAP
Au départ de trois îles sauvages, elle fut constituée aux environs de 1870. Un marin d'eau douce Jean Benoît Lafleur y construisit une petite maison. Puis ce fut un arrêt de bateaux-touristes avant l'apogée dans les années 30 avec jeux, guinguettes, bassin, palais de la danse et de la musique. Menacée d'être supprimée, elle fut consolidée dans les années 80. On y trouve un centre nautique, une plaine de jeux et un espace adaptable.
Vous vous trouvez actuellement sur le Quai du Halage avec ses éternels et nombreuses oies domestiques et sauvages. Nombres de belles maisons datent des années 1900 et on peut encore y voir entre certaines maisons des passages servant aux pontonniers pour amener les barques du fleuve.
Le premier pont à cet emplacement date de 1868 et était un pont à péage. Pont rendu public en 1902, il fut chaque fois détruit et reconstruit à chacune des guerres.
Au dessus du canal de jonction, elle relie les quartiers visétois de Devant-le-Pont et de la Basse-Meuse.
La maison éclusière date du 20e siècle, l'écluse se trouvait alors vers le Quai du Halage.
La borne douanière autrichienne de Navagne date du 18e siècle.
Cette drève fut dénommée ainsi pour célébrer le jumelage entre Visé et Aiguillon en 1959. Ce jumelage est toujours dynamique 50 ans après.
Eglise Notre Dame du Mont Carmel de Devant-le-Pont, église paroissiale depuis 1842, elle fut agrandie vers le nord après la destruction par l'incendie provoqué par un avion britannique le 20 avril 1941.
Cela rappelle la mort des deux premiers fantassins tombés au combat le 4 août 1914. Ils faisaient partie du 12e régiment d'infanterie de ligne.